Stabat Mater Furiosa

Un élan pour se lever, se relever encore et encore, malgré tout. S'élève alors une voix féminine, une prière furieuse. Celle d'une femme résolue à régler son compte à la cruauté barbare, résolue dans sa prière à insuffl er une volonté unique, humaine, universelle : celle d'anéantir le désir de tuer.

" Découverte de ce texte en 2007. Première ébauche de travail sur ce texte en 2010 avec Marcel Bozonnet, suivie d'un long suspens... Il est aujourd'hui retravaillé différemment, avec un regard neuf, plus mature, plus libre aussi, prenant en compte mon parcours de danseuse et je n'imagine pas cette voix sans un corps vivant, vibrant, dansant. Ce monologue est un long poème. La poésie du texte est une force qui anime l'imaginaire du spectateur. " La reprise de ce texte, pour le mener à bien, célèbre le Centenaire de la fin de la Première Guerre Mondiale.

Avec l'Association Compagnie des sens
Conception et interprétation : Anne Rebeschini
Avec la complicité de Alexandre Louschik
Composition sonore et musicale : Ivan Solano