Dança Doente T2G - Théâtre de Gennevilliers Affiche © Mauricio Pokemon


Pour être informé des prochaines dates pour "Dança doente"
Inscrivez-vous Gratuitement à l'Alerte Email.


Salle
où cet événement eut lieu :
T2G - Théâtre de Gennevilliers, 92230 Gennevilliers

Dança Doente

de Marcelo Evelin , mis en scène par Marcelo Evelin

T2G - Théâtre de Gennevilliers, Gennevilliers

- Cet événement n'est plus disponible à la réservation dans cette salle -
Rencontre entre tradition et modernité, Japon et Brésil, Marcelo Evelin inspiré par le Bûto interroge la notion de danse comme symptôme.

Danser comme on balbutie, comme des figures curieusement désarticulées en quête d'une forme possible. Syllabes incomplètes, les corps tâtonnent dans l'indicible. Il y a dès les premiers instants de Dança Doente un aspect embryonnaire comparable à l'effervescence d'une soupe primordiale observée au microscope.

Les danseurs qui s'y meuvent, à la fois collectivement et séparément, pourraient aussi bien être des bactéries ou des microbes. En intitulant ce spectacle " Danse malade " (traduction de Dança Doente), le Brésilien Marcelo Evelin se réfère à Tatsumi Hijikata, grande figure du butô et auteur du livre autobiographique Yameru Maihime (La Danseuse malade).

Cet ouvrage énigmatique a inspiré à Marcelo Evelin la notion de danse comme symptôme, autrement dit comme transformation du corps et de la perception qu'on en a. Après Matadouro, De repente fica tudo preto de gente et Batucada, inspirés de l'histoire et de la tradition du Brésil, c'est aujourd'hui du côté du Japon que se tourne le chorégraphe. Il donne à voir avec Dança Doente un fascinant processus de transformation proche par moments d'un rituel de possession hanté par la maladie et la mort.







Pour un Public adulte
à partir de 18 ans

Danse contemporaine

Langue : Français
Durée : 90 minutes soit 01h30





Evénements associés :
Last birds
Boys don't cry
Au creux de mon silence
Carmen
Oxymore + Landing
Armande Sanseverino et Gael Germain : En pièce jointe
Nocturne danse #46
Carte blanche à Marlène Rostaing
Anopas
Pietragalla : La femme qui danse