Le Sacre du printemps Chaillot - Théâtre National de la Danse / Salle Jean Vilar Affiche

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Salle
où cet événement eut lieu :
Chaillot - Théâtre National de la Danse / Salle Jean Vilar, 75016 Paris

Le Sacre du printemps

mis en scène par Jean-Claude Gallotta

Théâtre National de Chaillot, Paris

- Cet événement n'est plus disponible à la réservation dans cette salle -

En ce moment dans cette salle :

Triple hommage à Igor Stravinsky en forme de pirouette signé Jean-Claude Gallotta : un Sacre du printemps tout feu tout flamme, précédé de deux courtes pièces, Tumulte et Pour Igor.

Chaque chorégraphe porte un Sacre en lui. Celui de Jean-Claude Gallotta est gravé au compas sur un pupitre d'écolier. Le futur chorégraphe entend l'oeuvre pour la première fois sur un vieux tourne-disque. Assoupi sur son banc en bois, il " s'enrêve " aussitôt, dit-il aujourd'hui. C'est alors qu'il chorégraphiait la dernière séquence de son spectacle précédent, L'Homme à tête de chou, que lui sont revenus ces souvenirs.
Par quelle voie secrète ? En guise de réponse, Le Sacre du printemps s'est alors imposé comme le second volet du diptyque commencé avec l'hommage à Gainsbourg : mêmes danseurs, même lumière sélénienne, mêmes énergies venues directement de la musique. Jean-Claude Gallotta a choisi de travailler sur la première version de l'oeuvre, qu'il considère comme une des meilleures, rude, sans affèteries, sans brillance décorative, dirigée et enregistrée par Igor Stravinsky lui-même.
Pas d'anecdote, pas d'intrigue. Jean-Claude Gallotta ajoute : pas d'Élue, ou du moins pas d'Élue unique, glorifiée puis sacrifiée. Chaque interprète féminine sera " éligible ", tour à tour, pour rétorquer à " l'obscur pouvoir discrétionnaire " des dieux. Du rituel, Jean-Claude Gallotta a également retenu le double sens étymologique de " relier " et de " se recueillir ".
Il s'agit bien pour lui de se recueillir, comme à genoux, sur les marches de l'autel qui montent et monteront toujours à son adolescence, et de se relier aux maîtres, de Kantor à Fellini, qui l'ont conduit à ne pas l'oublier.
Le Sacre est précédé de deux courts avant-programmes : I – Tumulte, où le chorégraphe invite danseurs et public à entendre le silence brut de la danse qui précède le déchaînement de la musique. II – Pour Igor, un solo en hommage au compositeur.

Crédits photo : Vera Iso / Igor Stranvinski 1907







Pour Tout public

Danse contemporaine

Langue : Français
Durée : 80 minutes soit 01h20





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