Cri qui s'allonge en chant de la rivière lointain. Ou autre chose.

Jusqu'au jour où ils découvrent un cadavre dans la rivière. Lucie, une amie du noyé, débarque sous la tempête. Mais le cadavre se réveille...

Une gouttière. Des lampes de chantiers. Deux comédiens pour quatre personnages, le son et la technique gérés de manière autonome directement sur scène.

Une plongée dans un imaginaire poétique et plastique, où les mondes se confrontent, où les morts s'en contrefoutent, où la réalité perd ses repères.

Dans cette écriture de plateau teinte de fantastique, la compagnie de L'Orchidée sauvage aborde notre rapport à la mort, à la famille, l'isolement, aux frontières du réel.

La compagnie l'Orchidée Sauvage tend à innover dans la création artistique en travaillant sur des formes de spectacles différentes, atypiques. Sa première création à la particularité d'être totalement autonome, de l'écriture à la scénographie, au jeu, à la technique et à la musique.
Cette création joue avec le théâtre de genre et s'inspire de formes cinématographiques fortes.

À chaque spectacle, la compagnie mène une expérimentation différente sur l'art de l'acteur et sur le jeu. Elle tient à l'hybridation entre les arts, et porte des volontés de théâtre, de musique, de plastique, de performance et d'écriture. Chaque projet porté développe sa propre esthétique. Son optique est de créer une émotion forte chez le spectateur.