La veuve joyeuse

Qui en compta bien d'autres pourtant : au point que même en version... muette elle inspira le cinéaste von Stroheim.

Cocktail champagnisé du Paris Belle-Époque et d'improbables Balkans dont on pouvait, pour quelques années encore, sourire, elle ne tient qu'à un fil d'intrigue : la fortune de la jeune et belle veuve échappera-t-elle au Pontévédro, ou bien le charme du prince Danilo, dépêché chez Maxim's en mission d'intérêt national, renflouera-t-il les caisses ?

Le reste n'est qu'un tourbillon d'écume dont les " heures exquises " empêchent qu'on entende le glas du XIXème siècle.