Célibataires... Parce qu'ils le veulent bien !

Antoine, Christiane et Bruno se connaissent depuis le lycée et se retrouvent toujours dans les mariages... Uniquement ceux des autres. Célibataires tantôt par choix, souvent par malchance, parfois presque par nécessité, nos trois amis que la vie a fait se croiser, puis se perdre, pour finir par se retrouver sont fermement décidés à prendre le taureau du célibat par les cornes.
Ils décident de réunir leurs forces de célibataires et de se soutenir pour enfin (re)trouver l'âme soeur.

Tout en humour, les tableaux de vie de notre attachant trio d'amis vont se succéder : de la salle de sport à la discothèque en passant par les sites de rencontres ou une hilarante audition théâtrale, ils vont tenter de passer du statut de célibattu à celui de célibattant. Facile ? Pas sûr !
Ils partent effectivement tous trois et à des niveaux différents avec de sérieux handicaps.

Que ce soit celui qui fait semblant d'être sûr de lui à cet autre qui ne se rend pas compte qu'il vit dans un monde à part – un geek, comme on les surnomme aujourd'hui – en passant par celle qui s'est enfermée dans un rôle qui la rapproche de plus en plus de l'éternelle bonne copine et l'éloigne progressivement de celui de petite amie potentielle, le chemin risque d'être long et semé d'embûches. Mais qu'importe : à la clé, il y a le bonheur !
Le public comprendra bien vite que, ce bonheur qu'ils recherchent tant, ils y touchent peut-être déjà en partie, car leur belle histoire d'amitié fait déjà plaisir à voir.

Alors, d'après vous, nos 3 célibataires trouveront-ils l'âme soeur ?

La plume est agile, l'observation aigüe et les situations drôlissimes.
Par chance, Rodolphe Sand déjà coauteur de " Célibataires ", a repris du service pour mettre en scène nos artistes locaux, Julie Delaunay et Thibault Martel, irrésistible duo de Couple, mode d'emploi, et Thierry Patru, inoubliable curé de Panique à la paroisse, redonnant un coup de peps à ce spectacle qui a déjà acquis ses lettres de noblesse de la comédie au fil des années, successivement joué à Paris dans les prestigieuses salles du Splendid ou du Temple, en passant par Le Mélo d'Amélie et notamment interprété en son temps par Armelle et Laurent Lafitte.