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Salle
où cet événement eut lieu :
Athénée - Théâtre Louis Jouvet, 75009 Paris
Théâtre des Sources, 92260 Fontenay aux Roses


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Critiques de la presse



On redécouvre Les Justes dans la rigoureuse et minimaliste mise en scène de Guy-Pierre Couleau. (…) Il bouleverse. Par cette manière quasi claudélienne, paradoxalement mystique, qu’ont ses deux héros (…) d’aimer passionnément la vie et d’y renoncer quand même, d’inspirer vivement puis doucement d’expirer, de s’offrir de se retirer. » Fabienne Pascaud, Télérama

La peinture des caractères, la qualité des dialogues et l’intelligence du propos assurent la pérennité de cette œuvre dont la mise en scène de Guy-Pierre Couleau fait bien ressortir la force. André Lafargue, Le Parisien

On imagine bien, on devine, on ressent que le dramaturge Guillaume Clayssen et le metteur en scène relisent cette pièce au filtre des événements de notre temps et de la place du terrorisme dans notre monde. Il n’y a pas d’apologie. Ils s’interrogent, et si l’empathie pour les protagonistes est sensible, c’est le doute qui est ici partagé (…). C’est ce qui donne son grand intérêt à cette production jouée avec célérité qui « métaphorise » celle même des pensées contradictoires, des sentiments contrastés qui déchirent chacun. La distribution est forte. Armelle Héliot, Le Figaro

Couleau fait jouer la pièce dans une sorte de nudité dans l’esprit de la tragédie classique.(…) les acteurs Frédéric Cherboeuf, Anne le Guernec, Sébastien Bravard, Nils Ohlund, Jany Gastaldi, séduisent par leur façon sensible d’être sans cesse en tension, portés par cette langue finalement magnifique qui bondit du didactisme à l’échappée poétique. Gilles Costaz, Les Echos

Le texte, sobre et clair, n’a pas pris une ride. Paris capitale

Cela donne, dans la version que nous en propose Guy-pierre Couleau, quelque chose de fascinant par sa pureté (…). Il y a quelque chose d’une puissance inflexible dans le mouvement dramatique, quelque chose d’une pureté de cristal dans cette écriture simple, fine, jamais sèche même si elle ne s’alourdit d’aucun mot en trop. C’est superbe et réentendre cette langue constitue la première émotion. Armelle Héliot, Le Quotidien du médecin