Deux êtres esseulés côte à côte. Leurs névroses se lisent sur leurs corps et leurs visages lors d'une impressionnante scène d'ouverture sans aucun mot. On passe de l'étonnement à la gène, de l'amusement à la jubilation. Impossible de rester indifférent. Ensuite, c'est le voyage de l'improvisation. On embarque avec les deux comédiens qui racontent les tentatives maladroites d'une possible rencontre. Ils se répondent, se frôlent, ou monologuent en parallèle...en se baladant sur tous les registres des émotions. Evidemment, comme c'est de l'impro, chaque représentation est unique et apporte son lot d'imprévisible...Ce soir-là, une mite s'étant invitée sur la scène, nous avons eu droit à un jeu de scène des plus amusants et à un dialogue surréaliste autour de ce parasite devenu sujet philosophique... j'ai plongé avec eux, complétement absorbée dans ce moment de spectacle vivant se construisant sous nos yeux. Touchée par la qualité de jeu comme par la sensibilité et la finesse du propos sur ces êtres si seuls qui tentent quelque chose. # écrit le 01 Juin
Très déçu par rapport à ce que j'en espérais. Sortir un gode d'un sac à dos, se déguiser en travesti pendant la moitié du spectacle ou en homard ne suffit pas à faire rire. Jérémy beaucoup trop en retrait... Aucune profondeur, aucun fil directeur, c'est bâclé. C'est malaisant. Un bide. Dommage. Je mets un 2 parce que j'ai dû rire 2 fois. # écrit le 01 Juin
2 comédiens formidables qui sortent du cadre habituel pour nous présenter un autre versant de l'impro. Place aux dialogues à la fois profonds et absurdes, à l'émotion, aux silences, à la surprise et à la poésie. On rie aussi, évidemment, beaucoup, mais le gag ici n'est pas une fin en soit, pas une mission, juste un aspect parmi d'autres de la relation qui prend forme sous nos yeux. On est pleinement absorbés par cette rencontre et on se prend à imaginer les alternatives qui verront, peut-être, le jour la prochaine fois... Une parenthèse reposante, un OVNI shalalesque. # écrit le 01 Juin
C'est triste de voir ces trois comédiens tomber si bas. C'est long, c'est ennuyant, la mise en scène est pauvre, et les vannes sont vulgaires, racistes et misogynes. La mise en scène est pauvre et des centaines de milliers de personnes vont subir ce spectacle abrutissant. Franchement ça fait flipper de voir une salle comme le Zénith remplie pour "ça". Passez votre chemin, vous gagnerez du temps. # écrit le 01 Juin
Les Desperate Housemen se marient !
Le Grand Hôtel des Rêves présente : Jules Verne, Le Voyage Extraordinaire