
Prenant sa source dans l'ouvrage de Bram Dijkstra Les idoles de la perversité, Ad astra s'intéresse aux figures de la femme fatale dans la culture de la fin du 19ème siècle...
...à travers les iconographies de cette époque et plus particulièrement du courant symboliste. Il s'agit de faire surgir des états de corps engagés dans une incessante métamorphose... de la femme animale à la figure éthérée et disparaissante des "belles endormies ".
Après avoir été interprète, essentiellement auprès de François Raffinot au sein du Centre Chorégraphique du Havre, Emmanuelle Vo-Dinh crée la compagnie Sui Generis au Havre en 1998. Si l'écriture des " débuts " inscrit un corps "figuratif" qui privilégie la singularité de chaque interprète, la chorégraphe aborde progressivement un travail plus abstrait, par le biais de thématiques comme la neurologie ou la psychiatrie. Avec Décompositions (2003), Emmanuelle Vo-Dinh aborde un cycle de pièces qui marque une rupture très nette avec les précédentes. De facture plus abstraite et contemplative, ce travail invite le spectateur à vivre des pièces au caractère hypnotique.
Au-delà des principes d'écriture chorégraphique, la chorégraphe associe régulièrement d'autres disciplines à ses pièces (musique, arts plastiques ou écriture).
Depuis 2007, Emmanuelle Vo-Dinh aborde des recherches qui s'appuient principalement sur l'écriture musicale (Aboli Bibelot...rebondi, 2007 ; 5'24, 2008), s'innervant aussi de certains aspects de l'histoire de la peinture (Eaux-fortes, 2007). Les désirs de création de la chorégraphe se portent aujourd'hui autour d'une écriture qui questionne la figuration dans l'abstraction, et place l'interprète au coeur du processus d'écriture (Ad Astra, 2009).
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Pour tout public
Langue : Français
Après avoir été interprète, essentiellement auprès de François Raffinot au sein du Centre Chorégraphique du Havre, Emmanuelle Vo-Dinh crée la compagnie Sui Generis au Havre en 1998. Si l'écriture des " débuts " inscrit un corps "figuratif" qui privilégie la singularité de chaque interprète, la chorégraphe aborde progressivement un travail plus abstrait, par le biais de thématiques comme la neurologie ou la psychiatrie. Avec Décompositions (2003), Emmanuelle Vo-Dinh aborde un cycle de pièces qui marque une rupture très nette avec les précédentes. De facture plus abstraite et contemplative, ce travail invite le spectateur à vivre des pièces au caractère hypnotique.
Au-delà des principes d'écriture chorégraphique, la chorégraphe associe régulièrement d'autres disciplines à ses pièces (musique, arts plastiques ou écriture).
Depuis 2007, Emmanuelle Vo-Dinh aborde des recherches qui s'appuient principalement sur l'écriture musicale (Aboli Bibelot...rebondi, 2007 ; 5'24, 2008), s'innervant aussi de certains aspects de l'histoire de la peinture (Eaux-fortes, 2007). Les désirs de création de la chorégraphe se portent aujourd'hui autour d'une écriture qui questionne la figuration dans l'abstraction, et place l'interprète au coeur du processus d'écriture (Ad Astra, 2009).
La distribution du spectacle ✨
Auteur(s) :
Emmanuelle Vo-Dinh
Mise en scène :
Emmanuelle Vo-Dinh
Ad Astra, les avis spectateurs
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Le lieu
Ad Astra, toutes les séances
Aucune date prévue pour le moment
À propos de Ad Astra
L’événement Ad Astra de type Théâtre contemporain, organisé ici : La vie brève - Théâtre de l'Aquarium -
Paris, n'est plus disponible à la vente.
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