Avis et critiques : Ah ! Vous dirais-je mamans !

C'est un très beau spectacle autour de la maternité, des rapports mère-fille (les hommes ne sont pas exclus, loin de là, ce spectacle est tout à fait pour eux aussi!) , qui comporte de nombreuses touches d'humour et de poésie, dans une mise en scène enlevée de Victoire Berger-Perrin Une interprète à découvrir absolument, aussi bien ventriloque que chanteuse lyrique !

Mon coup de coeur à Avignon cette année. A des années-lumière des clichés biberons-couches-baby blues, Laura Elko a construit un spectacle sur la maternité et la transmission en mélangeant poésie, chanson, ventriloquie et humour, avec une mise en scène parfaitement huilée. Une parenthèse de fraîcheur et de tendresse, un bijou de spectacle...

Je n'aurais pas cru me laisser emporter par cette pièce comme ce fut le cas, mais Laura est tellement pleine de vie et possédée par son / ses rôles que le temps passe à une vitesse folle ! Tantôt chanteuse, tantôt danseuse, tantôt ventriloque, elle occupe la scène et fait passer un merveilleux moment ! (Nous étions 4 : deux hommes de 48 et 29 ans et deux femmes de 48 et 25 ans et tout le monde a autant adhéré / adoré cette pièce !)

Excellent spectacle, plein de rires et d'émotions. Je recommande vivement...

Un "seule en scène" (pas si seule) à la fois drôle et touchant, sur la transmission entre les générations magnifiquement interprété par Laura Elko et son double, Adalbert. À voir absolument !

Très joli spectacle ; Laura nous emmène avec tendresse et humour dans un cheminement familial et y exprime ses multiples talents de comédienne.J'ai été touchée par les dialogues qu'elle met en scène et par le chant, superbe.

Nous avons vu ce spectacle en couple, étant moi-même enceinte la problématique de la valise de maternité nous a bien fait rire ! La comédienne allie humour, chant et différentes voix pour aborder avec originalité et légèreté la maternité (et le stress qui va avec...). Mention spéciale à la comédienne qui a joué dans un état de grossesse bien avancé !