Caïpirinha Musical Club Quartet

Hommage aux chefs d'oeuvre de la bossa nova et de la musique populaire brésilienne. Plus qu’un hommage à ces inoubliables mélodies, ce projet symbolise la prépondérance des échanges culturels à travers la musique en cette année du Brésil en France.

Les membre fondateurs du cmc quartet: Benjamin Brion a grandi dans une sphère musicale, sous la houlette d’un père compositeur. Initié au solfège dès l’âge de 6 ans, il se forme au piano, puis à la guitare classique au conservatoire. Plus tard, il poursuivra ses études à l’université en musicologie, tout en étant l’élève du jazzman américain Tony de Caprio. Amoureux de la musique brésilienne, il part y étudier la bossa nova et joue notamment à Salvador de Bahia et à Morro de Sao Paolo.Depuis, il voue un véritable culte au répertoire de Jobim, Gilberto, Toquinho...
Issue d’une famille de musiciens amateurs, d’origine martiniquaise, Hélène Argo est initiée très tôt à la musique par l’intermédiaire du piano. Mais c’est le chant qui la séduit dès l’adolescence. Après ses premiers pas sur scène avec un groupe funk-rock, sa curiosité l’entraîne vers des expériences musicales diverses, du répertoire classique à la comédie musicale « made in Broadway »… Elle s’intéresse aux musiques brésiliennes, à l’électro, s’initie plus tard au jazz vocal que Diane Reeves lui fait aimer…
Arthur Camion grandit dans un univers artistique. Il commence lui aussi très tôt par le piano et devient bassiste à l’âge de 17 ans. Il étudie la musique à l’American School of Modern Music, développe son jeu de basse avec Peter Giron et s’intéresse à la contre-basse. S’il joue surtout dans des groupes aux inspirations soul/funk/70’s, son parcours professionnel est diversifié : de la composition de musiques de film ou de pub, à l’arrangement de thèmes acid jazz, en passant par la scène jazz latin…Arthur puise autant dans le jazz de Miles Davis, la Bossa Nova et la Samba d’auteurs Comme Jobim, Vinivius de Moraes pour dessiner son univers musical.
De parents tous deux danseurs, Sacha Lhady évolue dans un mileu artistique depuis son plus jeune âge. A l’instar des autres, il commence la musique tôt par l’intermédiaire du piano qu’il ne quittera pas. Sacha se tourne alors vers l’improvisation musicale, en bon autodidacte. Puis il se forme au jazz à la Bill Evans Piano Academy et à l’IACP, où il joue au sein d’un « big band ». Son jeu est inspiré par un héritage classique et par la rencontre avec les musiques actuelles, comme l’évoquent ses références musicales : Herbie Hancock, Bill Evans ou Brad Meldhau…