
Ciné-concert sur des films d'avant-gardes belges
Un cycle de projections avec des documentaires sur les artistes surréalistes exposés et surtout, les chefs-d'oeuvre du cinéma belge surréaliste muet, présentés en sept ciné-concerts exceptionnels, et une avant-première.
Images d'Ostende de Henri Storck
(1928 – 12 min. – N/B)
Film organisé en chapitres visuels : le port, les ancres, le vent, l'écume, les dunes, la mer du Nord – une série d'images qui n'ont rien à voir avec l'anecdote ou l'illustration. L'eau, le sable, les vagues entrent directement dans le vocabulaire filmique.
Trains de plaisir de Henri Storck
(1930 – 8 min. – N/B)
Caméra : Henri Storck.
" L'évocation d'un milieu social typique rejoint celles de Bruegel, Bosch, Ensor ou Permeke." Paul Davay, Cinéma de Belgique, 1973.
Combat de boxe de Charles Dekekeuleire
(1927 – 7 min. – N/B)
Basé sur le poème Combat de boxe de Paul Werrie. Caméra : Antoine Castille. Producteur : Charles Dekeukeleire. Poème cinématographique composé d'une alternance de plans positifs et négatifs, dont le prétexte est l'acharnement de deux boxeurs. Avec aussi la présence du public, la tension entre la foule et le ring qui sont portés par un montage fulgurant et chorégraphique.
Monsieur Fantômas d'Ernst Moerman
(1937 – 17 min. – N/B)
Caméra : Roger et Norbert Van Pepestraete. Avec Jean Michel, Françoise Bert, Jacqueline Arpé, Trudi Van Tonderen. Production : Les Films Hagen-Tronje.
En smoking et chapeau claque, le Maître du Crime, Monsieur Fantômas, parcourt le monde à la poursuite de la belle Elvire, jalonnant son itinéraire de méfaits et d'outrages aux bonnes moeurs. On retrouve ici l'amour fou, les méandres du rêve, l'anticléricalisme forcené, l'appel à la subversion et à l'aventure dans " un monde où rien n'est impossible, où le miracle est le plus court chemin de notre inquiétude au mystère " (E. Moerman).
A Savoir
Ciné-concert avec Daniel Schell (tape-guitare) et Tomonori Takeda (clarinette)
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Pour tout public
Langue : Français
Film organisé en chapitres visuels : le port, les ancres, le vent, l'écume, les dunes, la mer du Nord – une série d'images qui n'ont rien à voir avec l'anecdote ou l'illustration. L'eau, le sable, les vagues entrent directement dans le vocabulaire filmique.
" L'évocation d'un milieu social typique rejoint celles de Bruegel, Bosch, Ensor ou Permeke." Paul Davay, Cinéma de Belgique, 1973.
Basé sur le poème Combat de boxe de Paul Werrie. Caméra : Antoine Castille. Producteur : Charles Dekeukeleire. Poème cinématographique composé d'une alternance de plans positifs et négatifs, dont le prétexte est l'acharnement de deux boxeurs. Avec aussi la présence du public, la tension entre la foule et le ring qui sont portés par un montage fulgurant et chorégraphique.
En smoking et chapeau claque, le Maître du Crime, Monsieur Fantômas, parcourt le monde à la poursuite de la belle Elvire, jalonnant son itinéraire de méfaits et d'outrages aux bonnes moeurs. On retrouve ici l'amour fou, les méandres du rêve, l'anticléricalisme forcené, l'appel à la subversion et à l'aventure dans " un monde où rien n'est impossible, où le miracle est le plus court chemin de notre inquiétude au mystère " (E. Moerman).
A Savoir
Ciné-concert avec Daniel Schell (tape-guitare) et Tomonori Takeda (clarinette)
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À propos de Films d'avant-garde belges
L’événement Films d'avant-garde belges de type Ciné-Concert, organisé ici : Centre Wallonie-Bruxelles -
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