
Laurence Equilbey réunit autour d'un thème évocateur trois compositeurs et rapproche trois oeuvres à travers leurs intentions expressives.
Joseph Haydn (1732-1809) Symphonie n°8 le Soir
John Field (1782-1837) Concerto pour piano n°5 l'Incendie par l'orage
Ludwig van Beethoven (1770-1827) Symphonie n°6 Pastorale
Deuxième saison d'Insula orchestra, orchestre jouant sur instruments d'époque.
Maître de chapelle du Prince Esterhazy, Joseph Haydn reçoit commande en 1761 d'une oeuvre musicale représentant les heures du jour. Ce seront les trois Symphonies n°6 le Matin, n°7 le Midi et n°8 le Soir.
Insula orchestra en présente ici le troisième volet, dont le dernier mouvement, sous-titré Tempesta, reprend tous les codes de la tempête baroque telle qu'elle est dépeinte, par exemple, dans les Quatre saisons de Vivaldi : grands traits rapides des violons figurant la foudre, grondements des contrebasses pour le roulement du tonnerre...
On retrouve également un célèbre épisode d'orage dans la Symphonie Pastorale de Beethoven. Celui-ci est moins dépeint pour lui-même que pour l'écho qu'il trouve dans le coeur de l'artiste. Composé quelques années après la Pastorale, et en partie inspiré par elle, le Concerto n°5 l'Incendie par l'orage de John Field fait explicitement référence à cette représentation de la nature pour exprimer les sensations de l'artiste face aux éléments déchaînés.
Pour le concerto de John Field, Laurence Equilbey a fait appel à Abdel Rahman El Bacha, l'un des meilleurs interprètes de sa génération.
Abdel Rahman El Bacha, piano
Laurence Equilbey: direction
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Pour tout public
Langue : Français
John Field (1782-1837) Concerto pour piano n°5 l'Incendie par l'orage
Ludwig van Beethoven (1770-1827) Symphonie n°6 Pastorale
Deuxième saison d'Insula orchestra, orchestre jouant sur instruments d'époque.
Maître de chapelle du Prince Esterhazy, Joseph Haydn reçoit commande en 1761 d'une oeuvre musicale représentant les heures du jour. Ce seront les trois Symphonies n°6 le Matin, n°7 le Midi et n°8 le Soir.
Insula orchestra en présente ici le troisième volet, dont le dernier mouvement, sous-titré Tempesta, reprend tous les codes de la tempête baroque telle qu'elle est dépeinte, par exemple, dans les Quatre saisons de Vivaldi : grands traits rapides des violons figurant la foudre, grondements des contrebasses pour le roulement du tonnerre...
On retrouve également un célèbre épisode d'orage dans la Symphonie Pastorale de Beethoven. Celui-ci est moins dépeint pour lui-même que pour l'écho qu'il trouve dans le coeur de l'artiste. Composé quelques années après la Pastorale, et en partie inspiré par elle, le Concerto n°5 l'Incendie par l'orage de John Field fait explicitement référence à cette représentation de la nature pour exprimer les sensations de l'artiste face aux éléments déchaînés.
Pour le concerto de John Field, Laurence Equilbey a fait appel à Abdel Rahman El Bacha, l'un des meilleurs interprètes de sa génération.
Abdel Rahman El Bacha, piano
Laurence Equilbey: direction
La distribution du spectacle ✨
Artiste(s) :
Abdel Rahman El Bacha
Mise en scène :
Laurence Equilbey
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Le lieu
Salle de concert
(~ 621 places)
60 rue de la Belle Feuille, 92100 Boulogne Billancourt
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