
"Il ne faut pas confondre la barbarie nazie et l’Allemagne..." . A partir des cahiers de jeunesse de Denise Bardet.
Il faut lire Börne, Büchner, Heine en France, pour distinguer entre l’Allemagne immortelle et ses maîtres d’un jour"Et surtout il faut témoigner des noms d’aujourd’hui qui sont l’espoir et l’hymne de l’avenir : Thomas Mann, Bert. Brecht, Heinrich Mann, Anna Seghers, Lion Feuchtwanger, Willi Bredel, Emil Ludwig, Egon Erwin Kish, Erich-Maria Remarque, Ludwig Renn, Franz Werfel, Musil... Il y a tout ce qui se passe en eux du grand peuple muselé et qui trouve pour s’exprimer leurs paroles ardentes, leur talent, leur colère. Tout ce qui est vraiment français en France devrait connaître, aimer et défendre cette Allemagne de l’exil.
Denise Bardet était institutrice à Ouradour sur Glane. Le 10 Juin 1944 - elle devait fêter ce jour là ses vingt quatre ans - sa vie s'arretta comme les sic cent quarante-deux victimes du massacre.
La lecture des "Cahiers" nous a tout de suite donné envie de faire entendre la voix de Denise qui – au-delà de sa propre histoire et de sa fin tragique – transmet un message plein d’espoir pour les générations futures, un exemple contre l’intolérance : un hymne à la vie. Donner à entendre les mots notés dans des carnets, il y a une soixantaine d’années, par une jeune fille désireuse de se chercher à travers l’écriture et de réfléchir sur l’évolution du monde, nous semblait poursuivre ce devoir de mémoire entrepris par la publication des "Cahiers". Le violoncelle répondra à la voix dans un dialogue où comédienne et musicienne essaieront, le temps d’un spectacle, de donner vie à l’empreinte de Denise Bardet qui, comme Anna de Noailles, aimait tant la vie.
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Pour tout public
Langue : Français
Denise Bardet était institutrice à Ouradour sur Glane. Le 10 Juin 1944 - elle devait fêter ce jour là ses vingt quatre ans - sa vie s'arretta comme les sic cent quarante-deux victimes du massacre.
La lecture des "Cahiers" nous a tout de suite donné envie de faire entendre la voix de Denise qui – au-delà de sa propre histoire et de sa fin tragique – transmet un message plein d’espoir pour les générations futures, un exemple contre l’intolérance : un hymne à la vie. Donner à entendre les mots notés dans des carnets, il y a une soixantaine d’années, par une jeune fille désireuse de se chercher à travers l’écriture et de réfléchir sur l’évolution du monde, nous semblait poursuivre ce devoir de mémoire entrepris par la publication des "Cahiers". Le violoncelle répondra à la voix dans un dialogue où comédienne et musicienne essaieront, le temps d’un spectacle, de donner vie à l’empreinte de Denise Bardet qui, comme Anna de Noailles, aimait tant la vie.
La distribution du spectacle ✨
Auteur(s) :
Denise Bardet
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À propos de Je m'appuierais bien et si fort à la vie...
L’événement Je m'appuierais bien et si fort à la vie... de type Théâtre contemporain, organisé ici : Théâtre le Proscenium -
Paris, n'est plus disponible à la vente.
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