Avis et critiques : Journal d'un corps

Super Pennac fidèle à lui-même, tjs un régal super places par billet reduc

génial a voir et écouter absolument

Texte excellent. Auteur/Lecteur/Conteur excellent. C'est un régal pour les sens. Monsieur Pennac est aussi grand à son bureau pour écrire que sur scène pour raconter.

Quelle présence sur scène! quel beau texte! Une vie racontée à travers un corps qui bien sûr vieilli...j'ai été émue par cette lecture comme rarement au théâtre. A ne pas rater.

Daniel Pennac est génial, ce livre l'est tout autant, la combinaison des deux est donc un délice.

Daniel fut touchant à la lecture de son propre texte. La juste distance donne encore plus de valeur à la représentation et donne également envie de lire le lire sinon toute l'oeuvre Pennac.

Bravo pour la prestation! Présence sur scène en soliste remarquable. Le plaisir d'écouter ce journal !

A voir absolument! Daniel Pennac a non seulement le talent d'écrivain mais aussi celui de conteur et de comédien. Il nous a fait rire et pleurer. (mais beaucoup rire)

Une lecture de texte de Pennac par Daniel du même nom. Un passage qui se devrait obligatoire pour le bien de chacun. On se délecte de cette subtile sélection de morceaux choisis de toute une vie. Le partage privilégié d'un véritable jardin secret où l'herbe en pousse sur les tables, messieurs les enfants (!). Ces extraits sont comme l'écho de ces histoires que l'on s'impatientait d'entendre au moment où gamin, la lumière se tamisait et l'histoire commençait... et nous transportait. Ici, c'est à travers les âges que l'auteur nous trimballe à loisir sur un ton empli d'âme, d'humour, d'esprit et d'émotion. Un pur délice. Le journal d'un corps qui va finir par s'amoindrir au fil d'un sablier qui va comme s'imposer odieusement sur la table pour nous rappeler cruellement que la fin approche. L'auteur donne une âme drôle, touchante, subtile et surprenante à ce corps si capricieux qui semble lui jouer tant de tours depuis toujours. Son art de conteur sans pareil nous captive sans relâche dans un incessant élan de vie, complice, terrible et délicieux. Et ce fichu présent d'incarnation dont lui seul possède le secret, parvient toujours à tenir chacun en alerte, du premier jusqu'au dernier souffle. Du pur nectar.

Ce journal d'un corps, un corps qui aurait pu être social, être dans l'affect, ne parle que de petits problèmes. Une scène est belle, la seule et unique belle scène quand il parle des réels sentiments du corps. Mais la médiocrité des petits problèmes prend le dessus. Et la blague sur le bègue, au summum du mauvais goût, m'a fait pleurée, de haine, pour ces gens aux petits problèmes.