La plus jolie fille de la ville

"Rien n'est jamais acquis à l'homme Ni sa force Ni sa faiblesse ni son coeur Et quand il croit Ouvrir ses bras son ombre est celle d'une croix Et quand il croit serrer son bonheur il le broie Sa vie est un étrange et douloureux divorce Il n'y a pas d'amour heureux"...Aragon

C'est un joli moment à passer, acteurs superbes, histoire émouvante. Soirée très agréable

une adaptation parfaitement servie par deux acteurs très convaincants et justes. Mention speciale a Guillaume Cesbert (belle descente!) Nous avons passe un tres bon moment, un peu court tout de meme. A voir!

Une bonne soirée...

j'ai adoré cette histoire de fille désaxée et splendide. La pièce oscille entre moments poétiques (et il faut entendre la poésie de Charles Buk !) et réalité crue (mais là encore c'est de la poésie). J'ai été bluffé par ces jeunes comédiens. C'est pas de l'imitation.

La plus jolie fille de la ville commence avec une véritable chorégraphie interprétée en solo par Michela Orio, l'héroïne; elle rebondit d'un meuble à l'autre, elle danse, elle épouse la musique et c'est magnifique. Michela, danseuse et comédienne, interprète à la perfection ce role difficile et dur d'une jeune femme qui pourrait aimer, être aimée, vivre tout simplement.

Le texte de Bukowski on peut le lire, mais allez voir l'éclairage qu'en donnent ces deux acteurs pleins de lumière.

+++ c'est un tres bon spectacle. Pour le texte, pour l'interpretation des deux comédiens. La comédienne a une tres belle robe noire et elle flotte dans ce décor de chambre de garçon (Bukowski) machine à écrire, frigo, bières. C'est fort et émouvant.

Très beaux textes, bien que tristes, bien interprétés par les deux jeunes comédiens.

Un début de pièce fantasmagorique, une fille en robe rouge dans un rêve, avec un rossignol bleu dans le coeur... Une suite attendue, Bukowski au réveil c'est guttural ! Un fantôme, une présence, une Miss que l'on imagine, qui vit peut-être, qui le marque lui, au fer rouge, qui nous déstabilise nous. Une pièce comme un double mirroir, parole de fantôme ou parole d'homme, laquelle est la plus juste ? Bukowski mon amour, "Kass" ma schizophrène, comme je vous aime tous les deux pleins de Vérité et tout en sensibilité, comme je vous déteste, réalistes et sauvages, finalement dans ses deux miroirs croisés, c'est nous que l'on voit, en kaléidoscope, et grâce à vous notre âme se rappelle qu'elle est libre.