
Une longue odyssée dans la corne de l'Afrique...
C'est un long voyage, commencé en juillet 2006, qui se poursuivra en 2007 et 2008. Longue odyssée dans la
corne de l'Afrique, regards croisés du poète et du photographe où vient se blottir celui de la lectrice.
Ce deuxième volet du triptyque nous entraîne en Abyssinie. Il s'arrêtera avant la frontière avec l'Erythrée. Entre le noir et le blanc, le lecteur donne ici corps à ce cheminement où le poème et les images se conjuguent avec l'histoire et la géopolitique.
Les photos de Raymond Depardon, la musicalité du texte de Jean-claude Guillebaud nous transportent dans l'essence, le temps et la langue du poême épique, homérique. Dans ce deuxième voyage, nous entendrons la langue amharique, la langue officielle éthiopienne, murmurée, chantée, psalmodiée.
" A travers un long périple dans la corne de l'Afrique, la Porte des Larmes chante et pleure le retour en Abyssinie ; ce spectacle témoigne de toutes les émotions qui balancent entre la volonté de se perdre dans ces terres d'une écrasante beauté et le besoin viscéral de témoigner des misères, des désespérances, des fléaux vécus dans le silence, de témoigner aussi de la splendeur d'une des civilisations les plus anciennes de l'Afrique, de conter l'Ethiopie, pays parmi les plus pauvres du monde, miroir de toutes nos contradictions. Quête à travers les rencontres et le péripéties des émotions éprouvées lors du premier voyage initiatique de l'auteur dans les années 1970." Dido Lykoudis
D'origine gréco-éthiopienne, Dido Lykoudis est née à Addis-Abéba, en Ethiopie. Diplômée de l'Institut d'Etudes Théâtrales (Paris III), de l'Université Internationale du Théâtre (Théâtre des Nations)
" A chacun son initiation. La mienne fut éthiopienne. Et cruelle : le monde était effectivement méchant. On pouvait y mourir au pied des maisons où festoyaient les riches. Pendant dix années au moins, cette corne fut, pour moi, le canton privilégié d'une géographie personnelle, quelque chose comme un secret personnel, u lieu fondateur où je reviens sans cesse. Dix fois, quinze fois... Aucun ailleurs, nulle partie du monde, aucun lieu ne compta dans ma vie autant que celui-là. J'ai toujours su qu'un jour je repartirais vers l'Abyssinie. " Jean-Claude Guillebaud
" Longtemps après ma première visite en Ethiopie, j'ai gardé une joie douce et un peu mystérieuse en pensant à ce pays unique, pudique et mélancolique. Aujourd'hui, en remontant la route historique, ma nostalgie a disparu. J'ai découvert un pays en paix, un pays nouveau, enfin débarrassé de son passé douloureux. " Raymond Depardon
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Pour tout public
Langue : Français
Ce deuxième volet du triptyque nous entraîne en Abyssinie. Il s'arrêtera avant la frontière avec l'Erythrée. Entre le noir et le blanc, le lecteur donne ici corps à ce cheminement où le poème et les images se conjuguent avec l'histoire et la géopolitique.
Les photos de Raymond Depardon, la musicalité du texte de Jean-claude Guillebaud nous transportent dans l'essence, le temps et la langue du poême épique, homérique. Dans ce deuxième voyage, nous entendrons la langue amharique, la langue officielle éthiopienne, murmurée, chantée, psalmodiée.
" A travers un long périple dans la corne de l'Afrique, la Porte des Larmes chante et pleure le retour en Abyssinie ; ce spectacle témoigne de toutes les émotions qui balancent entre la volonté de se perdre dans ces terres d'une écrasante beauté et le besoin viscéral de témoigner des misères, des désespérances, des fléaux vécus dans le silence, de témoigner aussi de la splendeur d'une des civilisations les plus anciennes de l'Afrique, de conter l'Ethiopie, pays parmi les plus pauvres du monde, miroir de toutes nos contradictions. Quête à travers les rencontres et le péripéties des émotions éprouvées lors du premier voyage initiatique de l'auteur dans les années 1970." Dido Lykoudis
D'origine gréco-éthiopienne, Dido Lykoudis est née à Addis-Abéba, en Ethiopie. Diplômée de l'Institut d'Etudes Théâtrales (Paris III), de l'Université Internationale du Théâtre (Théâtre des Nations)
" A chacun son initiation. La mienne fut éthiopienne. Et cruelle : le monde était effectivement méchant. On pouvait y mourir au pied des maisons où festoyaient les riches. Pendant dix années au moins, cette corne fut, pour moi, le canton privilégié d'une géographie personnelle, quelque chose comme un secret personnel, u lieu fondateur où je reviens sans cesse. Dix fois, quinze fois... Aucun ailleurs, nulle partie du monde, aucun lieu ne compta dans ma vie autant que celui-là. J'ai toujours su qu'un jour je repartirais vers l'Abyssinie. " Jean-Claude Guillebaud
" Longtemps après ma première visite en Ethiopie, j'ai gardé une joie douce et un peu mystérieuse en pensant à ce pays unique, pudique et mélancolique. Aujourd'hui, en remontant la route historique, ma nostalgie a disparu. J'ai découvert un pays en paix, un pays nouveau, enfin débarrassé de son passé douloureux. " Raymond Depardon
La distribution du spectacle ✨
Auteur(s) :
Jean-claude Guillebaud
Artiste(s) :
Dido Lykoudis
La porte des larmes, retour en abyssinie, les avis spectateurs
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Le lieu
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À propos de La porte des larmes, retour en abyssinie
L’événement La porte des larmes, retour en abyssinie de type Théâtre contemporain, organisé ici : Lavoir Moderne Parisien -
Paris, n'est plus disponible à la vente.
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