Avis et critiques : La République, c'est moi !

N'hésitez pas à venir découvrir cette pièce avec cette troupe formidable. Excellent jeu très bien rythmé.

Très drôle, rythmé et moderne , une adaptation très contemporaine d'une pièce du 19eme siècle . Une troupe très variée et enthousiaste , une mise en scène très maline, bravo !

Je suis allé voir cette pièce, que je ne connaissais pas du tout ; les comédiens prennent visiblement un grand plaisir à jouer, et c'est un régal pour nous ! Un vaudeville très divertissant, avec beaucoup de rebondissements, une bonne mise en scène (des transitions très amusantes, signalons-le), bref ! un excellent moment ! Je recommande chaudement

Cette pièce est une pépite, on rit du début à la fin avec beaucoup d'originalité, d'humour et de finesse. Tous les comédiens sont sont talentueux avec une mention spéciale pour Paul qui est juste exceptionnel. Ne pas hésitez à y aller, ça vaut le détour

Excellente comédie jouée par d'excellents comédiens ! Paul est top ! 1:30 de comédie qui m'ont paru 30 minutes ! Envie d'y retourner !

Des comédiens convaincants au service d'une pièce très drôle. Nous avons passez une excellente soirée A voir !

Du vaudeville comme on les aime avec de talentueux comédiens, une mise en scène de qualité. On ne s'ennuie pas une seconde et on rit ! Pour tout public . A recommander et surtout à ne pas rater il reste peu de dates!

Comédie de boulevard "à l'ancienne " qui n'a pourtant pas pris une ride, et diablement efficace, menée tambour battant par une troupe épatante !

Un vaudeville doit d'abord amuser : on goûte son plaisir et on sourit continûment pendant toute cette représentation, allègre, fraiche et vive. Mais comment, sans sombrer dans la dénonciation militante, jouer aujourd'hui une pièce d'une misogynie féroce, même pour son époque, plaçant en face d'hommes beaux parleurs et se prétendant meneurs de jeu, une vieille peau se croyant aimée, une épouse potiche, une demi-mondaine maltraitée, une jeune oie blanche à marier, une bonniche travestie ? En transférant subrepticement le pouvoir aux femmes ! le baron subit les évènements, son secrétaire est dans une panique continue, le mari professeur est ridicule, le gendre de l'épilogue est un brave garçon. Et ce subtil transfert est obtenu tout simplement... par la supériorité du jeu des actrices sur celui des acteurs... Par leur aplomb (la baronne), leur maitrise (la courtisane), la palette d'émotions et le chien (l'épouse et la bonniche). Juste pour souligner avec légèreté le trait, ce sont les hommes qui, lors des changements de décor, déplacent les meubles et plient la nappe, sous le regard des femmes. Petit clin d'oeil, délicieux sourire.

La dernière fut enthousiaste et à juste titre. La troupe dynamique et investie nous entraine dans les arcanes d'une situation échevelée où tout s'entremêle avec bonheur. Le politique imbu et paresseux - son épouse délaissée rêvant d'une unique et ultime romance - le secrétaire noceur endossant l'identité de son patron - la jeune fille candide à épouser - l'ami serviable et complice .... Tout y était ! Et, "comme de bien entendu", tout se terminera au mieux ... Ajoutez y quelques fantaisie avec le professeur en phrénologie et l'inspecteur candide et un peu balourd et vous aurez l'aperçu d'une charmante fantaisie.