
"Le capital est du travail mort, qui ne s'anime qu'en suçant tel un vampire du travail vivant, et qui est d'autant plus vivant qu'il en suce davantage."
On avait senti qu'ils s'intéressaient au fonctionnement du pouvoir : après Le père tralalère et Notre terreur, Sylvain Creuzevault et ses camarades investissent avec leurs armes de théâtre – improvisation, écriture au plateau, élaboration collective – un continent de pensée révolutionnaire.
Chant inaugural des consciences prolétaires et des combats socialistes, méthode critique échevelée pour les uns, pour d'autres bon pour les poubelles de l'histoire, Le Capital, texte douloureusement élaboré et inachevé, édité en 1867, est pour la plupart d'entre nous un monument inconnu...
En faire théâtre, ce n'est pas "peindre en rose le personnage du capitaliste et du propriétaire foncier, ni celui de l'archaïque ouvrier, ni Jacques Bonhomme le paysan, ni les pétro-subjectivités urbaines, ni les métaphysiciens de réseaux, ni les endettés du monde entier..."
Ils n'interviennent dans cette "Difficile comédie" que comme les grimaces des structures cachées de notre monde – celles qui rendent difficile d'apercevoir les visages...
Avis aux spectateurs: "Il ne s'agira pas de rêves, ni d'utopie ; et de théâtre politique, c'est comme de rapport sexuel, il n'y en aura plus ! Ce sera de la comédie, pure, dure".
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Pour tout public
Langue : Français
Chant inaugural des consciences prolétaires et des combats socialistes, méthode critique échevelée pour les uns, pour d'autres bon pour les poubelles de l'histoire, Le Capital, texte douloureusement élaboré et inachevé, édité en 1867, est pour la plupart d'entre nous un monument inconnu...
En faire théâtre, ce n'est pas "peindre en rose le personnage du capitaliste et du propriétaire foncier, ni celui de l'archaïque ouvrier, ni Jacques Bonhomme le paysan, ni les pétro-subjectivités urbaines, ni les métaphysiciens de réseaux, ni les endettés du monde entier..."
Ils n'interviennent dans cette "Difficile comédie" que comme les grimaces des structures cachées de notre monde – celles qui rendent difficile d'apercevoir les visages...
Avis aux spectateurs: "Il ne s'agira pas de rêves, ni d'utopie ; et de théâtre politique, c'est comme de rapport sexuel, il n'y en aura plus ! Ce sera de la comédie, pure, dure".
La distribution du spectacle ✨
Auteur(s) :
Karl Marx
Artiste(s) :
Vincent Arot, Benoit Carré, Antoine Cegarra, Pierre Devérines, Lionel Dray, Arthur Igual, Clémence Jeanguillaume, Léo-Antonin Lutinier, Frédéric Noaille, Amandine Pudlo, Sylvain Sounier, Julien Villa, Noémie Zurletti
Mise en scène :
Sylvain Creuzevault
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Le lieu
Le capital et son singe, toutes les séances
Aucune date prévue pour le moment
À propos de Le capital et son singe
L’événement Le capital et son singe de type Théâtre contemporain, organisé ici : Théâtre National de la Colline -
Paris, n'est plus disponible à la vente.
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