Avis et critiques : Pourquoi j'ai agrafé mon patron ?

La rigueur du texte fait que la mise en scène et l'interprétation sont remarquablement justes. Beaucoup de pertinence et de réalisme provoquant de la dérision et de l'humour. Bravo. Petit clin d'oeil : à voir absolument en couple.

Pièce extrêmement sympathique j'appréhendais le faite que ce soit une pièce en solo mais c'est tellement bien joué que le temps passe trop vite. Merci pour ce jeux fantastique

Un trés bon moment à passer. Un texte ou chaque mot compte, une superbe interprétation rythmée qui colle au personnage, une mise en scène sans faille, bref, c'est savoureux Bravo pour l'exercice

texte original et jamais excessif, super jeu de l'actrice, c'et vraiment drôle,enfin une parole sue la business woman qui sonne juste, bravo !!

Une actrice talentueuse,un texte franchement drôle, une mise en scène soignée

Très bon texte, très bien joué... On ne voit pas le temps passer...

Cette pièce nous était recommandée par un ami. J'ignore s'il avait partie liée avec les organisateurs mais nous sommes sortis du théâtre fortement déçus. L'actrice joue certes honorablement, mais la pièce pèche par son texte et sa mise en scène : monologue pas du tout drôle, mise en scène sans originalité.

Même si l'actrice se démène pour jouer et nous faire croire à son rôle de bobo parisienne débordée entre sa vie de famille et sa vie professionnelle, je n'ai pas du tout accroché. Je ne suis jamais entré dans cette histoire. ça m'a semblé être du "déjà vu".

L'actrice passe une heure à monologuer avec le mur. Je trouve que le spectacle aurait davantage sa place dans un théâtre dramatique....

Elle vient raconter à un avocat "invisible" que sur un coup de tête , elle a frappé son patron avec une agrapheuse. Complètement loufoque, ne suivant que son journal de femmes, elle finit par enchainer "virtuellement" son avocat , Maître Van Dick. C'est un long monoloque d'Emmanuelle Bonnet, se pavanant dans son ensemble noir, entourée de ses journaux, son sac et son téléphone. Aucune originalité, rien d'humoristique...