
Une pseudo star, Ottavia La Blanca, revient après quinze ans d'absence, dans sa ville natale, Buenos Aires. Il est maintenant travesti et fait croire qu'il est une star à New-York...
..., mais en réalité se produit dans une boite minable à Córdoba. (Il arrive avec Pedro, son " garde du corps ", danseur de tango homosexuel.)
Il arrive dans la Pension de famille (" Casa Alba ") et va retrouver sa mère, Alba (qui a toujours su, mais reniée l'homosexualité de son fils), son père, Ausente (qui ne jure que par Carlos Gardel ), sa nouvelle voisine, Yolanda dite Yoli (une pute de bas étage), ses deux tantes : Elsa et Claudia (soeurs de sa mère, qui ont toujours vécu sous l'influence de leur grande soeur mais qui vont se rebeller et se révéler à l'arrivée de Ottavia La Blanca), Alvaro (le bel argentin du quartier dont il a toujours été secrètement amoureux) et sa grand-mère (la mère de sa mère : Zulma, d'origine russe) avec qui il a toujours été très lié et qui connaît en secret tous ses secrets.
Il décide de revenir pour " régler ses comptes " avec sa famille, voir sa grand-mère qu'il adore et surtout revoir Alvaro, l'amour de sa vie...
Ce spectacle pourrait se définir comme une revue-cabaret-théâtre argentin. Le texte est une création d'un jeune auteur argentin dans lequel il a injecté différents passages de la littérature, du théâtre et du cinéma argentins. Le tout mêlé à divers morceaux musicaux chantés en direct par les comédiens.
L'esprit est baroque, coloré, rythmé et plein d'humour. Huit comédiens sur le plateau avec des personnages plus différents et plus déjantés les uns que les autres. Des costumes, perruques et chapeaux colorés.
Une bande son musicale étonnante. Cette pension de famille est un reflet de ce qui se passe réellement dans certains quartiers de Buenos Aires. On crie, on s'injurie, on pleure, on commente les ragots, mais on joue, on chante et on danse. On se déteste mais on s'adore.
La pièce traite du rapport et des relations au sein d'une famille, du refus de l'homosexualité, de l'emprise de la mère et de l'absence du père. Tout cela sous une forme légère et divertissante, grâce entre autres à la musique.
Une revue-cabaret-théâtre baroque, colorée, pleine d'humour, au coeur d'une pension de famille à Buenos Aires, dans le cadre des Nuits d'Eté Argentines
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Pour tout public
Langue : Français
Il arrive dans la Pension de famille (" Casa Alba ") et va retrouver sa mère, Alba (qui a toujours su, mais reniée l'homosexualité de son fils), son père, Ausente (qui ne jure que par Carlos Gardel ), sa nouvelle voisine, Yolanda dite Yoli (une pute de bas étage), ses deux tantes : Elsa et Claudia (soeurs de sa mère, qui ont toujours vécu sous l'influence de leur grande soeur mais qui vont se rebeller et se révéler à l'arrivée de Ottavia La Blanca), Alvaro (le bel argentin du quartier dont il a toujours été secrètement amoureux) et sa grand-mère (la mère de sa mère : Zulma, d'origine russe) avec qui il a toujours été très lié et qui connaît en secret tous ses secrets.
Il décide de revenir pour " régler ses comptes " avec sa famille, voir sa grand-mère qu'il adore et surtout revoir Alvaro, l'amour de sa vie...
Ce spectacle pourrait se définir comme une revue-cabaret-théâtre argentin. Le texte est une création d'un jeune auteur argentin dans lequel il a injecté différents passages de la littérature, du théâtre et du cinéma argentins. Le tout mêlé à divers morceaux musicaux chantés en direct par les comédiens.
L'esprit est baroque, coloré, rythmé et plein d'humour. Huit comédiens sur le plateau avec des personnages plus différents et plus déjantés les uns que les autres. Des costumes, perruques et chapeaux colorés.
Une bande son musicale étonnante. Cette pension de famille est un reflet de ce qui se passe réellement dans certains quartiers de Buenos Aires. On crie, on s'injurie, on pleure, on commente les ragots, mais on joue, on chante et on danse. On se déteste mais on s'adore.
La pièce traite du rapport et des relations au sein d'une famille, du refus de l'homosexualité, de l'emprise de la mère et de l'absence du père. Tout cela sous une forme légère et divertissante, grâce entre autres à la musique.
Une revue-cabaret-théâtre baroque, colorée, pleine d'humour, au coeur d'une pension de famille à Buenos Aires, dans le cadre des Nuits d'Eté Argentines
La distribution du spectacle ✨
Auteur(s) :
Federico Mora
Artiste(s) :
Sebastiàn Galeota, Nanou Garcia, Cécilia Filipi, Emma Fallet, Laura Lago, Stéphane Eloy, François Briault, Salem Sohibi
Mise en scène :
Stéphan Druet
Se Dice de mi, en Buenos Aires, les avis spectateurs
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Se Dice de mi, en Buenos Aires, toutes les séances
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À propos de Se Dice de mi, en Buenos Aires
L’événement Se Dice de mi, en Buenos Aires de type Comédie musicale, organisé ici : Hôtel Gouthière - Cour -
Paris, n'est plus disponible à la vente.
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