Séjour pour huit à Tadécia

Bien que imaginaire .... nous nous croyons bien à quelque milles de Paris à savoir dans les Balkans. Très bien joué

ce spectacle est vraiment grandiose: artistes, décor, histoire. Cela se déroule lors de la guerre en yougoslavie, et ça nous montre comment les gens se compotent en temps deguerre

Enfin une vision de la guerre en Yougoslavie. pas d'héroisme ni de politique.

Suite aux critiques négatives, je suis allée voir la pièce presque à contre-coeur, et bien j'ai été très agréablement surprise. Moi qui suis pourtant assez exigeante, j'ai trouvé l'ensemble bien joué (pas de vocciférations ???), les décors réalistes, la mise en scène bien faite malgré les tombées de rideau assez fréquentes. Et surtout l'histoire est très belle, je me suis attachée aux personnages, et mon seul regret c'est de ne pouvoir savoir ce qu'ils sont devenus. Quant au genre, c'est vrai qu'il y a un peu de tout, du rire, des larmes, de la peur, mais on ne s'ennuie jamais et on entre bien dans la pièce. Les spectateurs autour de moi ont semblé également beaucoup apprécié. Un grand bravo donc pour cette pièce.

Tout d'abord un grand BRAVO à tous les comédiens. Ils sont tous très dynamiques, j'ai adoré leur prestation. C'est une pièce à la fois drôle et émouvante. En plus le décor est magnifique, j'avais vraiment l'impression d'être à Tadécia moi aussi. Un petit mot pour ceux qui n'ont pas aimé:que vous n'aimiez pas la pièce c'est votre opinion et biensûr vous avez raison de le dire, mais ne dites pas "n'y allez pas" car toute pièce mérite sa chance, il y a un travail gigantesque derrière de toute une troupe, alors s'il vous plaît ARRETEZ de "casser" les spectacles !!!

Portée par l'excellent souvenir laissé par Le Dragon, c'est avec plaisir que j'ai retrouvé l'ambiance "parthénon" du théâtre de l'Ouest parisien. Pas de dictateur cette fois, mais un étonnant bunker. Les destins s'y croisent, fragilisés par l'imminence des combats. L'une se réfugie dans la fuite immobile, l'autre troque ses compétences vétérinaires contre le courage d'un urgentiste... Si on n'adhère pas forcément à tout -y compris au texte-, et qu'un léger mal de crâne accompagne la sortie du spectacle (le ton est donné ;) cette pièce mérite le détour pour ces quelques instants de folie volés au détour d'un tableau.

J'ai trouvé cette pièce extraordinaire, elle réussit vraiment à nous amener très proche de la souffrance, l'espérance, la peur de ce que peuvent ressentir des gens dans cette situation, je ne trouve pas du tout que certaines scènes soient invraissemblables, l'être humain se raccroche toujours à quelque chose et ce, même dans des situations instables et douloureuses, l'homme pense toujours à survivre. Certaines scènes sont très très émouvantes, d'autres très drôles, comme on dit : "je suis complètement rentrée dedans", et j'ai ressenti la peine, la peur, l'urgence de certaines situations, vraiment, cette pièce m'a soufflé...Il est vrai qu'un comédien vocifère un peu mais c'est un détail dans ce jeu à 8 personnages, face à l'émotion suscitée.

je ne comprends pas la critique de Telerama pour cette pièce. Moi j'ai tout simplement aimé et j'ai été très touché et surprise par ce jeu d'acteurs et cette mise en scene donc : allez voir cette pièce pour vous faire votre propre avis !

Au départ, ça peut surprendre, on est directement plongé dans l'urgence de la situation, les personnages parlent fort, tout bouge... Bref, il faut 5 minutes pour s'acclimater. Mais après.... C'est vraiment grandiose! Une pièce juste sur un sujet assez difficile, très drôle (on rit de bon coeur) et très grave, une salle magnifique et un accueil chaleureux, des acteurs bourrés de talent! Vraiment courez-y, un spectacle à ne pas rater!

D'abord merci à BilletRéduc pour cette invitation idéalement placée au 3ème rang, de face. Cette pièce confronte de façon violente, burlesque et grave la terreur des réfugiés et leur volonté de vivre, malgré tout. Les comédiens sont excellents et la mise en scène privilégie l'énergie, parfois l'outrance des comportements. On en sort pas indemne.