Le suicidé - Comédie Russe MC93 - Grande salle Affiche

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Salle
où cet événement eut lieu :
MC93 - Grande salle, 93000 Bobigny


- Cet événement n'est plus disponible à la réservation dans cette salle -

Critiques de la presse



" À voir les acteurs déambuler, s'agiter comme des personnages de Feydeau, on a l'impression de suivre un dessin animé. Le metteur en scène affirme qu'il monte ses pièces en fonction des acteurs. On le croit volontiers. Sous sa direction, ils ont la part belle. On rit beaucoup, de désespoir... Nathalie Simon, "

" Le portrait de la jeune société soviétique est réjouissant : de l'intellectuel radoteur au pope libidineux en passant par le bolchevique abruti, Erdmann s'amuse. [...] Merveille de fantaisie, la pièce tient de la virée alcoolisée avec moult embardées politicoexistentielles. Défenseur d'un théâtre de " troupe ", Patrick Pineau entraîne dix-sept camarades de jeux sur la piste du Suicidé. René Solis, "

L'Humanité " Patrick Pineau et sa bande n'y vont pas de main morte. Il signe là une mise en scène inventive pleine de bruit et de fureur, où les acteurs se déchaînent en toute vigueur dans un ballet fougueux au milieu d'un décor ingénieux et plein de sens taillé sur mesure par Sylvie Orcier. Pineau lui-même, percutant, massif, campent un Sémionovitch terrien qui impose son tempo et son ton à cette pièce subtile, mi-farce mi-tragédie. Marie-José Sirach, "

Les Echos " Dans un décor astucieux d'URSS " stylisée ", la bande à Pineau s'en donne à coeur joie : frénésie subtilement dosée, gags en série, trouvailles poétiques et contre-emplois délectables - Anne Alvaro en belle mère hystérique est irrésistible de drôlerie. [...] Pineau impérial en vrai-faux suicidé, Sylivie Orcier inénarrable en vraie-fausse épouse, Hervé Briaux, Manuel Lelièvre et les autres... Ils sont tous épatants. Philippe Chevilley, "

La Croix " Acteur fabuleux, [...] évident de naturel dans cet univers d'affreux, sales et méchants, il (Patrick Pineau) mène le jeu tambour battant, avec une légèreté qui ne masque en rien la force du propos. À ses côtés, le reste de la distribution suit, portés par le rythme nerveux de la traduction d'André Markowicz. Ils sont une vingtaine (un vrai bonheur pour le spectateur !), se précipitant, courant, s'affolant égarés dans les méandres de leurs calculs mesquins imposés par une vie aux lendemains qui doivent changer et ne chantent jamais. Didier Méreuze, "