Ma mère qui chantait sur un phare La vie brève - Théâtre de l'Aquarium Affiche © Pascal Colrat


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Salle
où cet événement eut lieu :
La vie brève - Théâtre de l'Aquarium, 75012 Paris

Ma mère qui chantait sur un phare

de Gilles Granouillet , mis en scène par François Rancillac

La vie brève - Théâtre de l'Aquarium, Paris

- Cet événement n'est plus disponible à la réservation dans cette salle -

Critiques de la presse



" Anthony Breurec (Perpignan), avec sa note de folie, et Antoine Caubet (le conducteur de machine), avec une épaisseur terrienne, ont une vraie puissance d'évocation "

" Riad Gahmi et Anthony Breurec sont bouleversants d'humanité "

" Avec ce texte, Gilles Granouillet nous offre un merveilleux voyage, fait de rire et d'émotion, au coeur de l'enfance. On plonge dès lors dans une véritable fable initiatique qui, comme le veut le genre, porte en elle autant de rugosité que de tendresse. Difficile de ne pas succomber au résultat. "

" Le metteur en scène pousse cette pièce tel un capitaine qui pourrait conduire en aveugle son navire tant il est attentif aux bruits de la mer. Se baigner dans la mer nue de notre enfance, pour rejoindre les comédiens qui marchent sur l'eau de nos plus beaux fantasmes, c'est palpitant. "

Théâtrorama " Les événements s'enchaînent allegro selon le principe de la cause à effet. On est embarqué par cette épopée moderne qui flirte avec le fantastique. Ici l'onirisme prend forme grâce à des lumières soignées, un son inventif et une scénographie évolutive faite de voiles de bateau rapiécées... "

Webthea " Tout de grâce déliée, Antony Breurec en Perpignan survolté et Riad Gahmi ado dépassé mais déterminé, sont épatants de vérité et nous embarquent dans leur virée déjantée mais initiatique qui " nous tire par le bout du coeur " comme aurait dit feu Brassens "

Theatrotèque.com " François Rancillac réalise une mise en scène proche du conte initiatique qui canalyse avec fermeté et discernement les rebondissements et se ponctue avec élégance comme toutes les belles histoires. L'année 2013 débute des plus belles manières au Théâtre L'Aquarium. "

L'Humanité " François Rancillac donne corps et chair à la fable de Gilles Granouillet. Opération délicate s'il en est, mais dont il se sort parfaitement, avec les qualités que nous lui connaissons depuis toujours : délicatesse et subtilité, rigueur et probité "

Les Trois coups " On voit tout grâce au talent des comédiens. Leur engagement, la capacité qu'ils ont tous à s'amuser de leur personnage sans jamais les prendre de haut est admirable "

Les Echos " Subtile scénographie qui voit la mer triompher d'une brume de rideaux en plastique et les âmes flotter sur scène, sous forme de pupitres. Rancillac et Raymond Sarti (son scénographe) font chanter le plateau comme un opéra, sous les lumières oniriques de Marie-Christine Soma. "

L'Humanité " Subtilement zébrée d'éclairs lyriques, l'écriture fait la part belle à des sautes d'humeur imprévisibles qui en font tout le prix. Dans une scénographie fondée sur de successifs dévoilements, ils sont six comédiens à prêter vie à ce conte à grandir debout, dont le charme continue d'agir bien après "