Hommage aux ballets russes : Noces - Le sacre du printemps

une première pièce (Noces) assez déroutante musicalement, mais soutenue par une troupe pleine d'énergie (avec un petit plus pour les danseuses), puis "le sacre" avec autant d'énergie malgré les 30° ambiants et une chorégraphie collant magnifiquement à la musique toute en violence et sensualité, le tout dans un cadre magnifique.

Un beau spectacle dans un beau cadre. La deuxième partie (le sacre du printemps), est un moment fort. Chorégraphie violente mais quelle formidable énergie des danseurs, de la danseuse étoile en particulier! L'entracte est très long, la première partie très courte.

Spectacle de Qualité.

De magnifiques danseurs, une très belle chorégraphie pleine d'originalité, le tout dans un décor enchanteur (le bassin de Neptune): nous avons passé une belle soirée pleine d'émotions. Bravo aux danseurs et au chorégraphe qui nous ont offert un très beau spectacle et un splendide final!

J'ai beaucoup apprécié le cadre et l'originalité de la danse sur une musique souvent déroutante. Ce fut donc une très bonne soirée.

La première partie est plutôt déconcertante et point de ballets russes au sens propre du terme, ceux qui s'attendent à du classique et à versailles ils sont nombreux , vont être déçus!L'entracte 30mn est trop long, quant au deuxième tableau ,une merveille de contemporain avec une danseuse extraordinaire qui vous porte vers le final.Bizarre, mais qui vous laisse une envie de revoir cette troupe.

La tribune embrassant une demi-lune, les 2/3 ont une vision décalée. Ce qui ne pose pas de problème en soi sauf que le chorégraphe a mis des projecteur au niveau du sol sur les côtés de la scène. Conséquence: on est totalement ébloui et on ne peut rien voir. Je n'ai jnamais vu un spectacle où les propjecteurs sont face aux spectateurs!!!! C'est bien dommage car d'un côté c'est un spectavle interessant et de l'autre on se fiche de celui qui le regarde (sauf les plus riches qui ont des places en face). D'ailleurs les danseurs ne saluent pas les spectateurs qui ne sont pas pile en face de la scène.

Commencer à danser la petite culotte aux chevilles, la faire ensuite renifler par les danseurs, ensuite organiser une partouze avec tout les danseurs , mon dieu, comme l'allusion au printemps était légère! Que monsieur Preljocaj me contacte je l'amenerai à une vrai partouze le 31 juillet. Traiter le printemps avec autant de subtilité c'est prendre les spectateurs pour des "non-comprenant" (pour rester poli). Que l'on ne réponde pas a mon avis en avancant "il faut briser les tabous" "quel rebelle!" "il faut provoquer et faire du décalé" . Cela fait 50 ans que les briseurs de tabous enfoncent des portes ouvertes, cela fatigue. Au fait je suis diplomé de l'école de beaux-arts, donc les enfonceurs de portes ouverte comme Preljocaj je connais, quand à la partouze lorsque l'on ne pratique pas on s'abstient d'y farie allusion. La plus grande provocation en ces temps d'art "décalé" serai de respecter Tchaikovski", alors la oui cela surprendrai............ encore faut-il que les briseurs de tabous brisés comprennent.......

J'ai detesté ... brutalité, violence, viol ... Je ne vois en aucun cas un "hommage" aux ballets russes ! On est loin du lac des cygnes ou de casse noisette !

la 1ère partie était un peu terne, pas envoutante malgré les costumes et la musique russe Par contre j'ai pris beaucoup de plaisir à voir la 2ème partie,contemporaine très expressive dans la musique les mouvements la mise en scène et un grand merci aux 12 danseurs et bravo à eux d'avoir si magnifiquement danser malgré la chaleur