
Pour la sortie de l'album "Duos with Lee" chez Naive.
"Vous voulez écarquiller les yeux d'un amateur de Jazz moderne ? Rien de plus facile. Prononcez le nom de Lee Konitz. Le visage s'ouvre aussitÎt. Vous avez autant de chance de vous planter que de tomber sur un Dayak en costume traditionnel dans une séance de Conseil municipal.
Le Chicagoan octogénaire séduit depuis plus d'un demi-siÚcle. Qu'on se figure que le saxophoniste a commencé à jouer en 1943, au noir, dans un club. Il a brillé dans quasiment toutes les configurations, et cherche toujours à plaire, comme en atteste l'album avec Dan Tepfer.
Lee s'est souvent entiché de pianistes. Sa préférence va vers les lyriques : ceux qui produisent un contrepoint, plutÎt que l'accompagnement limité aux harmonies. Quand il en croise un ; pof ! Un disque. Qui s'en plaindrait ? Pas ceux qui possÚdent les duos avec Martial Solal, Michel Petrucciani, Gil Evans, Harold Danko ou Kenny Werner.
Aussi, quand le disciple de Lennie Tristano voir débouler fin 2006 à New-York le Français Daniel Tepfer, recommandé par Martial Solal, le maestro l'écoute... et le mobilise quelques temps aprÚs pour un gig.
Lee a le nez creux. Tepfer, converti par l'écoute du sublimissime concert de 1983 à Hambourg avec Solal (" Star Eyes ", sur le label HatHut distribué par Harmonia Mundi) ne jure que par lui. Les voilà inséparables.
Tepfer est capable de ressortir ses plus grands chorus. Il met sur orbite Lee, au premier concert, sur " Kary's Trance ", un morceau de bravoure, provoquant une hystérie dans la salle!" Bruno Pfeiffer. Pour le bonheur de l'improvisation et de la surprise, ni passéiste ni jeuniste, résolument contemporain. Un événement qui mérite votre attention.
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Pour tout public
Langue : Français
Le Chicagoan octogénaire séduit depuis plus d'un demi-siÚcle. Qu'on se figure que le saxophoniste a commencé à jouer en 1943, au noir, dans un club. Il a brillé dans quasiment toutes les configurations, et cherche toujours à plaire, comme en atteste l'album avec Dan Tepfer.
Lee s'est souvent entiché de pianistes. Sa préférence va vers les lyriques : ceux qui produisent un contrepoint, plutÎt que l'accompagnement limité aux harmonies. Quand il en croise un ; pof ! Un disque. Qui s'en plaindrait ? Pas ceux qui possÚdent les duos avec Martial Solal, Michel Petrucciani, Gil Evans, Harold Danko ou Kenny Werner.
Aussi, quand le disciple de Lennie Tristano voir débouler fin 2006 à New-York le Français Daniel Tepfer, recommandé par Martial Solal, le maestro l'écoute... et le mobilise quelques temps aprÚs pour un gig.
Lee a le nez creux. Tepfer, converti par l'écoute du sublimissime concert de 1983 à Hambourg avec Solal (" Star Eyes ", sur le label HatHut distribué par Harmonia Mundi) ne jure que par lui. Les voilà inséparables.
Tepfer est capable de ressortir ses plus grands chorus. Il met sur orbite Lee, au premier concert, sur " Kary's Trance ", un morceau de bravoure, provoquant une hystérie dans la salle!" Bruno Pfeiffer. Pour le bonheur de l'improvisation et de la surprise, ni passéiste ni jeuniste, résolument contemporain. Un événement qui mérite votre attention.
La distribution du spectacle âš
Lee Konitz & Dan Tepfer, les avis spectateurs
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Le lieu
Lee Konitz & Dan Tepfer, toutes les séances
Aucune date prévue pour le moment
À propos de Lee Konitz & Dan Tepfer
LâĂ©vĂ©nement Lee Konitz & Dan Tepfer de type Jazz, organisĂ© ici : Sunset (Le) -
Paris, n'est plus disponible Ă la vente.
Toujours à la recherche de la sortie idéale ? Voici quelques pistes :
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