Affiche de Moi, Malvolio

Moi, Malvolio

1 h 05 min
Gymnase Auguste Renoir
Théâtre
Moi, Malvolio
1 h 05 min
Gymnase Auguste Renoir
Théâtre

Une partition pour un seul acteur qui réussit l'exploit d'approcher l'univers shakespearien tout en restant profondément inscrit dans son époque.

"Je me vengerai de vous et de toute votre meute ! "

Voici les derniers mots prononcés par Malvolio, majordome d'Olivia à la fin de La Nuit des rois, avant de disparaître à jamais.

Grotesque, caricatural, narcissique, Malvolio revient pour vous donner sa version des faits, celle du harcelé, la vision du looser, un homme outragé, blessé, prônant le retour à un ordre moral. Ceux que Malvolio déteste, ce sont les fêtards de La Nuit des rois, mais c'est surtout vous, public de théâtre.

Pour que le combat de Malvolio contre le théâtre soit équitable, nous lui offrons le meilleur adversaire qui soit : le jeu. Le jeu avec le public et avec les codes du théâtre, le jeu avec la langue de Shakespeare et la langue actuelle. Si Malvolio veut se venger de nous, il n'en demeure pas moins un formidable personnage comique, et sa capacité à nous faire rire pourrait bien desservir son projet de vengeance.
Lire la suite Pour tout public, Langue : Français

La distribution du spectacle ✨

Auteur(s) : Tim Crouch
Artiste(s) : François Herpeux
Mise en scène : Catherine Hargreaves

Moi, Malvolio, les avis spectateurs

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  • Du contemporain grotesque,caricatural et narcissique!

    Damnation!Poor Will!Quel électrochoc lorsqu'après avoir vu l'intégrale Shakespeare au Nord ouest ,je fus confrontée à cette "expérience".Le songe d'une nuit d'été eut été préférable à cette exhibition d'un personnage secondaire de la nuit des Rois(Malvolio).Le côté participatif frisant le ridicule, le théâtre immersif et blabla...Je ne dirait pas que c'était vulgaire(quoique) car le propos n'avait rien d'indécent en soi mais il était englouti par une adaptation et une mise en éclairage à la limite de l'escroquerie intellectuelle ..Il est des manières plus subtiles de s'interroger sur nos rapports à la différence, à l'Amour,à l'injustice.Non cher Tim je n'en remettrais pas une "Crouch"(Tim Crouch).Nous étions à l'image des dindons de la farce et ça c'était l'pompon qui pendouillait lamentable, comme ce que je retiendrai .Je garde en ma mémoire, un souvenir émerveillé de "Michel Ange et les fesses de Dieu" vu au théâtre 14 et je confesse vouloir oublier au plus vite le "cul" du comédien qui affichait sans retenue la "culeur" sur un dossard.

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    Publié le 24/10/2021
  • Lamentable !

    Je ne sais comment nommer cette lamentable pantalonnade dont le but affiché était de prendre le public pour un ramassis de fantoches décérébrés. Je ne suis pas vulgaire, mais il m'a été très rarement donné d'assister à un "foutage de g...." aussi évident. Le point est accordé au petit jardin ensoleillé du théâtre, seul moment de lumière accordé.

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    Publié le 18/10/2021
  • Provocations

    D'un personnage odieux sur scène ! Effets comiques et très bonne performance du comédien. Et avec une fin plutôt "expérimentaLe"...

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    Publié le 14/10/2021

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