Affiche de On n'a pas pris le temps de se dire au revoir

On n'a pas pris le temps de se dire au revoir

1 min
Théâtre Traversière
Théâtre
On n'a pas pris le temps de se dire au revoir
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Théâtre Traversière
Théâtre

Un seul-en-scène bouleversant, à la croisée du théâtre et du récit.

"Ça y est, les ordres sont donnés, les bulldozers avancent, l'effacement de ma cité a commencé... Maudite coïncidence! J'ai d'un côté mes souvenirs d'enfance qui s'ensablent et de l'autre petit papa qui s'enruine lentement à l'hôpital. Mais qu'est-ce qui va me rester de tout ça ?!"

Entre souvenirs intimes et histoire collective, Rachid Bouali nous embarque dans un récit vibrant, traversé par la tendresse, l'humour et la lucidité. Alors que les bulldozers rasent sa cité et que son père décline à l'hôpital, il se retrouve face à une double disparition : celle de ses racines et de ses repères.

À travers une narration sensible et habitée, l'auteur-comédien nous fait voyager de la Kabylie des années 50 aux quartiers populaires de France, tissant les liens invisibles entre les trajectoires individuelles et les grandes secousses de l'Histoire.

Lire la suite Pour tout public, de 12 ans à 90 ans Langue : Français

La distribution du spectacle ✨

Artiste(s) : Rachid Bouali
Mise en scène : Olivier Letellier

On n'a pas pris le temps de se dire au revoir, les avis spectateurs

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On n'a pas pris le temps de se dire au revoir, les avis presse

Le dauphiné libéré Il y a un an
Rachid Bouali est acteur et conteur. Sur scène, il nous prend la main pour nous emmener dans ses souvenirs d’enfance. Il y a urgence. D’un côté, la cité dans laquelle il a grandi va être rasée, de l’autre son « petit papa » perd la mémoire. Alors on reprend du début, son arrivée dans la cité de la Lionderie, sa scolarité en tant que fils d’immigré ou la réussite n’est pas une option. Avec un regard tendre, il raconte la difficulté en grandissant, de conjuguer toutes ses identités. « Qui suis-je ? Un Kabyle à la maison et un Français au lycée, un Arabe pour les Français, un Français pour les Algériens d’Algérie. » Il est seul sur scène et sans décor. Les époques fragmentées de sa vie forment peu à peu une mosaïque colorée. À la fin, les morceaux s’imbriquent, on en ressort bouleversés et attendris.
Théâtrothèque Il y a un an
Ce spectacle est dans la continuité des opus précédents autobiographiques (« Cité Babel », « Un jour, j'irai à Vancouver » et « Le jour où ma mère a rencontré John Wayne ») écrits par Rachid Bouali et joués partout en France et à l'étranger. Ici, c’est l’évocation de l’enfance qui s’éloigne remplacée par un présent de plus en plus chaotique. Les souvenirs s’effacent, la disparition de sa mère puis celle de son père, loin de leurs racines. L’immeuble ou ils vivaient depuis si longtemps est voué à la destruction. Rachid semble être seul comme sur une île déserte qui se délite sous ses pas. Loin de sa terre d’origine, la Kabylie, qu’il ne connait pas et la France pas toujours accueillante, que va devenir ce petit garçon ?

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À propos de On n'a pas pris le temps de se dire au revoir

L’événement On n'a pas pris le temps de se dire au revoir de type Seul(e) en Scène, organisé ici : Théâtre Traversière - Paris, n'est plus disponible à la vente.

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