
Avis et critiques : Ordet
9 avis
7/10
"la parole" m'a semblée juste et intéressante le propos sur la / les religions tout à fait d'actualité : quel miracle attendons-nous ? la scène de l'enterrement un peu longue bonne soirée passée
Voir plus9/10
magnifique pièce, Pascal Grégory est " royal "..
Voir plus9/10
beaucoup de spectateurs ont quitté la salle car ce spectacle dure deux heures quarante non stop mais ça se mérite:excellents acteurs ,texte riche mais difficile car la maladie ,la mort,la raison d'exister sont durs à affronter,bravo d'avoir le courage de nous faire partager tant d'émotion
Voir plus10/10
Le sujet très original invite à la réflexion. L'intensité du jeu de Xavier Gallais est tout à fait exceptionnel, mais je suis une inconditionnelle ! Pour les amateurs d'émotions intenses.
Voir plus9/10
"Ordet" pièce fantastique. Une équipe de comédiens sublime en particulier Xavier Gallais qui est incroyable et bien entendu Pascal Gréggory qui est parfait ! Seul bémol, un peu de bondieuserie !! La danse de la mort est sublime ! merci billet reduc
Voir plus10/10
Je viens de voir le spectacle au Théâtre du Rond-Point et j'en reviens bouleversé par l'intensité du jeu et la grandeur des personnages. Ordet est une pièce qui ne peut laisser indfférend. On la déteste ou on l'adore. La musique de Marcel Perez est en parfaite harmonie avec le sobre décor et l'âme protestante que respire cette pièce. Ordet est une oeuvre qui amène le spectateur aux questions fondamentales du sens de la vie, de l'espoir, la foi. Elle témoigne aussi de la force que certains puisent dans leur religion, . Avec le retour du religieux comme phénomène de société, cette pièce retrouve toute son actualité aujourd'hui en 2009. La "traduction" dans une langue parfois volontairement indélicate peut surprendre, mais n'enlève rien au chef d'oeuvre de Kaj Munk.
Voir plus3/10
ORDET* Ordet nous entraîne dans une contrée reculée du Danemark... Pour distraire l'ennui des longues journées d'hiver, les autochtones - dont les noms feraient volontiers passer Peter et Heidi pour des titis parisiens - avalent du lexomil par boîte de vingt tout en psalmodiant des prières à tout bout de champ qu'ils s'évertuent à planter et faucher par -15°... Comble de l'infortune, un groupuscule dissident d'I Vrumini s'est installé dans la campagne avoisinante et – les temps sont durs – vient plomber les mariages, baptêmes, communions, enterrements, voire les conversations des riverains. Malgré la présence d'un idiot du village qui se prend pour Jésus et fait l'andouille pendant les bénédicités, on s'ennuie ferme dans le grand Nord. Si l'humour ne semble pas avoir pénétré ces régions, l'Amour, lui, parvient de temps à autre à décocher une flèche de son carquois gelé. Voilà-t-il pas qu'Anders Montaigusten s'éprend d'Anne Capuletstör, sa jeune voisine gothique qui sait faire le café comme personne - argument de taille dans cette région frileuse. À cette union, les parents des deux tourtereaux disent d'abord Nej Nej Nej (le non local)... On ne fréquente pas la même église, on prend un sucre et pas deux par tasse... La médiation de la belle soeur d'Anders, Inger (un combiné de Françoise Sagan et de Zézette du Père Noël...), n'y semble pas suffir. Quand tout à coup (c'est une formule) le patriarche des Montaigusten, fâché à l'idée qu'on s'oppose à la volonté de son fiston, retourne sa veste en peau de mouton et entreprend de marier Anders et Anne contre l'avis de tous. Le sort ne se fait pas attendre : Inger, enceinte jusqu'aux dents, est prise de contractions... Après 13 mois de gestation (le temps passe moins vite là-bas), elle expulse l'enfant avec une force démoniaque. Le bambin atterrit six mètres plus loin, dans l'évier d'en face, en quatre morceaux. On a beau n'être pas loin du pays d'Ikéa, les efforts du médecin restent vains et l'affaire se finit dans un pochon... Honteuse, la mère n'a d'autre recours que de feindre la mort. I Vrumini est bien sûr de la partie et s'égosille à pleins poumons pendant la cérémonie funéraire. Inger n'y résistera pas : dans son beau cercueil en plexi, elle craque au bout de 12 minutes de polyphonies corses. Une surprise n'arrive jamais seule : le demeuré de la famille retrouve ses esprits et tout le monde de s'embrasser chaleureusement en signe d'autocongratulation danoise. Pendant près de 3 heures, Arthur Nauziciel sait comme personne rendre palpable l'ennui qui habite ces régions éloignées. Il anime, à peu de frais, l'espace scénique : rideau de douche moiré en fond et, sur les planches, une très belle pièce d'orfèvrerie polonaise ouvragée avec de la fraise de 65, patinée à la main et négociée à prix coûtant. On notera le clin d'oeil audacieux au thriller de Michael Jackson lors de la cérémonie d'enterrement d'Inger. Du grand spectacle !
Voir plusmagnifique! les acteurs sont excellents, inspirés, dans une mise en scène au service de ce texte si fort... On y pense encore longtemps après!j'y ai été sans connaitre la pièce, et j'ai été "scotchée" :-)
Voir plusMerveilleux la pièce est grande et belle , et devrait être vue par la plupart et expliquée éventuellement par l'entretien de Nauzyciel du programme. Nous avons beaucoup aimé Un problème: les spectateurs qui sortent en cours de représentation.
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