Avis et critiques : Philippe Fertray dans Likez-vous les uns les autres

J'avais déjà vu il y a plusieurs années un seul en scène avec Philippe Fertray. Je l'ai reconnu à sa critique de l'expression "pas de souci !". Mention spéciale pour les costumes et bien sûr le texte et le jeu d'acteur.

Les réseaux sociaux expliqués sous un angle loufoque, drôle et tellement juste. Des personnages plus vrais que nature, des costumes extravagants. Je recommande vivement !

Très bon moment partagé

Un pamphlet d'une heure sur notre aire du numérique, qui fait réfléchir. Le texte est très travaillé et d'une grande originalité. Un ovni dans la scène théâtrale actuelle. Accepterez-vous de vous laisser surprendre et perdre vos repères? Mention spéciale aux costumes hallucinants.

Drôle, intelligent et très bien joué À voir

Des sketches qui sont vraiment originaux, un peu loufoque, très bien joués.

J'ai été bluffée par ce spectacle et par le comédien. Bravo à lui pour toutes ces interprétations, ces changements de vêtements et ces fous rires. Je recommande vivement

Ce n'est pas si fréquent chez les humoristes actuels ! Philippe Fertray a le goût des mots et fait penser à Raymond Devos. Mon sketch préféré ? Celui de l'eau.

Ses états d'âmes successifs sont mis en exergue par les costumes extravagants de Sophy Adam. Philippe Fertray, auteur et interprète, nous emporte dans des scènes étonnantes où chaque portrait nous interpelle, dans un style toujours élégant et servi par un verbe délicieux. Une mention particulière pour la mise en scène de Servane Deschamps qui met fort bien en valeur la narration de ce spectacle.

Philippe Fertray nous propose un spectacle riche en jeux de mots, néologismes, facéties subtiles, trouvailles lexicales. Les accessoires qu'il a créés reflètent l'originalité et la richesse de ses textes. Il évoque ces baladins du Moyen Age qui chassaient l'ennui du peuple avec des chansons, des danses, des pantomimes. Fertray jongle avec les mots en nous faisant rire et réfléchir sur notre époque où l'écran tout-puissant a pris le contrôle sur nos cerveaux. En deux mots comme en cent : Courez-y!