
Des sonorités blues aux accents folk !
Les indiens Tuscarora sont devenus la 6e nation iroquoise en 1722,
tout en gardant un fort goût pour l'indépendance et la liberté.
Née à New York, Pura Fé est indienne Tuscarora par sa mère et Portoricaine par son père, alors sa musique vient naturellement d'un monde sans frontières.
Si le blues de Skip James ou de Taj Mahal lui a donné un vocabulaire, son chant nous ballade entre Joni Mitchell, Janis Joplin ou Aretha Franklin, tandis que le feu de son jeu à plat de guitare lap steel évoque immanquablement Ben Harper.
Fiancée au blues, fidèle au gospel, liée à vie au folk, capable de s'encanailler avec un phrasé hip hop ou un riff rock énergique, Pura Fé n'a qu'une seule histoire d'amour : vous... Avis aux amateurs, Pura Fé s'occupe de tout.
Un blues amérindien : La musique de Pura Fé, mélange de blues, de gospel et de folk, relié par un supplément d'âme lié à l'histoire personnelle de cette artiste hors normes, est intrinsèquement reliée à la tradition des musiques amérindiennes.
Inséparables des différentes identités tribales, les chants amérindiens étaient originellement accompagnés de percussions seules, qu'elles soient corporelles ou instrumentales.
Le plus souvent chantées lors d'incantations rituelles, ces mélopées démarraient lentement pour s'accélérer progressivement jusqu'à atteindre une forme de transe quasi incontrôlable.
Les paroles allaient de syllabes vides de sens aux formules sacrées et secrètes, fruits de plusieurs siècles de transmission orale.
Les différentes tribus se regroupant ou se rapprochant, leur " corpus " de chants s'est peu à peu homogénéisé, intégrant même des chants populaires américains ou canadiens comme Amazing Grace, Dixie, Jambalaya ou Sugartime.
Plus récemment, des artistes comme John Trudell ou Robbie Robertson contribuèrent à populariser l'esthétique amérindienne, tout en ouvrant les portes de fusions et de collaborations tous azimuts.
Pura Fé est un peu une enfant terrible de l'ensemble de cette épopée, sa musique et son histoire synthétisant, à l'extrême, à quel point l'esclavage et le massacre des tribus amérindiennes font partie de l'identité des États-Unis.
Pura Fé : lap steel guitar, chant
Cary Morrin : guitare, chant
Peter Knudson: percussions, chant
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Pour tout public,
Langue : Français
Née à New York, Pura Fé est indienne Tuscarora par sa mère et Portoricaine par son père, alors sa musique vient naturellement d'un monde sans frontières.
Si le blues de Skip James ou de Taj Mahal lui a donné un vocabulaire, son chant nous ballade entre Joni Mitchell, Janis Joplin ou Aretha Franklin, tandis que le feu de son jeu à plat de guitare lap steel évoque immanquablement Ben Harper.
Fiancée au blues, fidèle au gospel, liée à vie au folk, capable de s'encanailler avec un phrasé hip hop ou un riff rock énergique, Pura Fé n'a qu'une seule histoire d'amour : vous... Avis aux amateurs, Pura Fé s'occupe de tout.
Un blues amérindien : La musique de Pura Fé, mélange de blues, de gospel et de folk, relié par un supplément d'âme lié à l'histoire personnelle de cette artiste hors normes, est intrinsèquement reliée à la tradition des musiques amérindiennes.
Inséparables des différentes identités tribales, les chants amérindiens étaient originellement accompagnés de percussions seules, qu'elles soient corporelles ou instrumentales.
Le plus souvent chantées lors d'incantations rituelles, ces mélopées démarraient lentement pour s'accélérer progressivement jusqu'à atteindre une forme de transe quasi incontrôlable.
Les paroles allaient de syllabes vides de sens aux formules sacrées et secrètes, fruits de plusieurs siècles de transmission orale.
Les différentes tribus se regroupant ou se rapprochant, leur " corpus " de chants s'est peu à peu homogénéisé, intégrant même des chants populaires américains ou canadiens comme Amazing Grace, Dixie, Jambalaya ou Sugartime.
Plus récemment, des artistes comme John Trudell ou Robbie Robertson contribuèrent à populariser l'esthétique amérindienne, tout en ouvrant les portes de fusions et de collaborations tous azimuts.
Pura Fé est un peu une enfant terrible de l'ensemble de cette épopée, sa musique et son histoire synthétisant, à l'extrême, à quel point l'esclavage et le massacre des tribus amérindiennes font partie de l'identité des États-Unis.
Pura Fé : lap steel guitar, chant
Cary Morrin : guitare, chant
Peter Knudson: percussions, chant
La distribution du spectacle ✨
Pura fé trio, les avis spectateurs
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Pura fé trio, les avis presse
L'indépendant
Il y a 12 ans
Une tessiture passant du grave à l'aigu en quelques secondes, de Janis Joplin à Joan Baez, des modulations envoûtantes et incroyablement rythmées, Pura Fé est une respiration. [...] Et quand elle nous gratifie d'un Summertime à émouvoir les pierres, on ne peut s'empêcher de se dire qu'elle est belle, cette grande dame de la musique.
Les inrockuptibles
Du blues-rock fougueux, comme auraient pu le cracher Janis Joplin ou Aretha Franklin, des ballades jazzy acoustiques aux mélodies louvoyantes à la façon de Joni Mitchell, du country-blues tragique [...] Peu importe l'étiquette et les références : parfaitement produit, riche, généreux, inépuisable, ce disque est celui d'une chanteuse exceptionnelle, une grande dame grande d'âme.
Stéphane Deschamps,
Pura fé trio, les photos du spectacle
Le lieu
Pura fé trio, toutes les séances
Aucune date prévue pour le moment
À propos de Pura fé trio
L’événement Pura fé trio de type Pop / Rock / Folk, organisé ici : Scène nationale de Sénart : La Rotonde -
Moissy Cramayel, n'est plus disponible à la vente.
Toujours à la recherche de la sortie idéale ? Voici quelques pistes :
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