Retour
Weekend "films sur l'art au Centre Wallonie-Bruxelles", en partenariat avec le Centre du Film sur l'Art, en présence de sa directrice S. Pialeprat
(1970 – Belgique/France – 20 min.)
Le travail de l'artiste est présent dès la première image.
Bruit de papier déroulé qui devient musique, préparation du pinceau, impression d'un rituel qui tient à la fois des gestes du bon artisan et de quelque chose de fort, comme le torero qui entre dans l'arène.
C'est lui aussi qui termine le film dans une longue et très belle séquence où le peintre fait un tableau sur fond sonore du rythme des Gilles. 0n a assisté en condensé et en urgence à la fête créative.
(1972 – Belgique – 14 min.)
Dès le générique, on entre en logogrammes à partir du lieu où s'est mis en place, fantasmatiquement chez Dotremont, le désir d'écriture inspiré par l'amour qu'il porte à Gloria. La caméra dira tout au long du film la position du corps, des mains, l'avancée de l'encre, donc la naissance de ses poèmes visuels, jusqu'à l'autodafé qui attend ceux qui ne sont pas parfaits.
(1972 – France – 12 min.)
L'esthétique industrielle, en général, automobile en particulier, a toujours sollicité les plasticiens.
Depuis les futuristes, en passant par Picabia pour arriver à César, Armand, Leccia, tous ont fait entrer dans leur oeuvre la fascination de la mécanique. Pol Bury, sculpteur, qui a introduit le mouvement dans son travail et cinéaste, était tout désigné pour répondre à la commande de la régie Renault : montrer une chaîne de montage.
Plans rapprochés de gestes, de pièces, bruits de machines, presse, laminoirs, robot, tôle, il montre dans un film très découpé, rapide, la construction d'une automobile. Regard d'un artiste plus que film sur l'art.
(2006 – France – 18 min.) Al Alimon : mot employé dans la corrida lorsque les deux toreros peuvent toréer le taureau simultanément en tenant chacun un bout de la même cape.
Pierre Alechinsky nous raconte l'aventure picturale qu'il a partagée avec son ami Alberto Gironella. Un projet à quatre mains où le thème, la tauromachie, sera imposé par le peintre mexicain et le matériel utilisé (papier encre de chine) sera imposé par le peintre belge.
Quatre courts métrages sur des artistes belges surréalistes, les avis spectateurs
Voir tous les avis
Connecte-toi pour donner ton avis !
Le lieu
Les spectacles dans la même salle
Quatre courts métrages sur des artistes belges surréalistes, toutes les séances
Aucune date prévue pour le moment
Billets disponibles également dans une autre salle :
À propos de Quatre courts métrages sur des artistes belges surréalistes
L’événement Quatre courts métrages sur des artistes belges surréalistes de type Cinéma / Projection, organisé ici : Centre Wallonie-Bruxelles -
Paris, n'est plus disponible à la vente.
Toujours à la recherche de la sortie idéale ? Voici quelques pistes :
Voir plus
Toujours à la recherche de la sortie idéale ? Voici quelques pistes :