
2 courts solos, présentés dans 1 même soirée. 2 projets indépendants se rejoignant dans l'utilisation du fantastique et l'évocation d'univers personnels.
La chambre d'enfant et l'endroit du déploiement de l'imaginaire de l'enfant, et sans doute le seul lieu où il peut sans honte jouer, incarner plusieurs personnages, se déguiser. En posant la question du lien entre cette chambre d'enfant et la scène d'un théâtre, "Comme la lune" propose un conte, joué par une comédienne qui, dans chaque interprétation des personnages qu'elle propose, affirme la nécessité d'affirmer son imaginaire.
Ce qui pouvait être honteux enfant devient admirable adulte, et dans cette chasse à l'imaginaire que semble parfois nous proposer les institutions auxquels nous avons souvent dû faire face durant notre vie, nous y découvrons le parcours d'une Princesse, hélas incompétente dans tous les domaines de pouvoirs qu'elle devra pourtant un jour investir.
Cette histoire aux accents légers révèle l'immense tragédie de ce poids pourtant artificiel que l'on charge sur les épaules d'enfants qui ne rentre pas forcément dans les rangs.
Pauline Clément et Bertrand Usclat
" Pour te dire que je me sens seul et sans comprendre la détresse des mots que j'envoie, je dessine à l'encre vide un désert. J'ai comme des envies de métamorphose, j'aimerais mieux être un oiseau. Je voudrais voir le monde à l'envers. Si jamais c'était plus beau, plus beau vu d'en haut.
Je sens quelque chose, je suis mal dans ma peau. Pourquoi je vis ? Pourquoi je meurs ? ... " D. Balavoine
Présenté comme une installation, Keratoconjonctivite convoque le spectateur, comme s'il se trouvait devant une vitrine ou une cage de Zoo. On assiste à un instant " T ", au déroulement du quotidien d'un jeune homme en exil et définitivement reclus sur lui-même. Coupé du monde extérieur mais tout en s'efforçant à construire son propre rapport au monde comme une sorte de protection face à une société qu'il tente de fuir.
Il s'agit d'aborder et d'illustrer la manière dont l'imaginaire peut fonctionner lorsque l'on souhaite remédier à cet état de solitude. Notamment dans cette capacité à vouloir rendre vivant des objets inanimés ou dans l'évocation de fantasmes hallucinés... Avec un enjeu particulier pour la mise en scène, celui de toujours flirter entre les limites du réel et celles du fantasmagorique.
Clément Durand
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Pour tout public
Langue : Français
Ce qui pouvait être honteux enfant devient admirable adulte, et dans cette chasse à l'imaginaire que semble parfois nous proposer les institutions auxquels nous avons souvent dû faire face durant notre vie, nous y découvrons le parcours d'une Princesse, hélas incompétente dans tous les domaines de pouvoirs qu'elle devra pourtant un jour investir.
Cette histoire aux accents légers révèle l'immense tragédie de ce poids pourtant artificiel que l'on charge sur les épaules d'enfants qui ne rentre pas forcément dans les rangs.
Pauline Clément et Bertrand Usclat
" Pour te dire que je me sens seul et sans comprendre la détresse des mots que j'envoie, je dessine à l'encre vide un désert. J'ai comme des envies de métamorphose, j'aimerais mieux être un oiseau. Je voudrais voir le monde à l'envers. Si jamais c'était plus beau, plus beau vu d'en haut.
Je sens quelque chose, je suis mal dans ma peau. Pourquoi je vis ? Pourquoi je meurs ? ... " D. Balavoine
Présenté comme une installation, Keratoconjonctivite convoque le spectateur, comme s'il se trouvait devant une vitrine ou une cage de Zoo. On assiste à un instant " T ", au déroulement du quotidien d'un jeune homme en exil et définitivement reclus sur lui-même. Coupé du monde extérieur mais tout en s'efforçant à construire son propre rapport au monde comme une sorte de protection face à une société qu'il tente de fuir.
Il s'agit d'aborder et d'illustrer la manière dont l'imaginaire peut fonctionner lorsque l'on souhaite remédier à cet état de solitude. Notamment dans cette capacité à vouloir rendre vivant des objets inanimés ou dans l'évocation de fantasmes hallucinés... Avec un enjeu particulier pour la mise en scène, celui de toujours flirter entre les limites du réel et celles du fantasmagorique.
Clément Durand
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Solos Comme la lune et Kératoconjonctivite, les avis spectateurs
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Salle de spectacle
(~ 200 places)
3, rue Edmond Fantin, 92600 Asnières sur Seine
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Aucune date prévue pour le moment
À propos de Solos Comme la lune et Kératoconjonctivite
L’événement Solos Comme la lune et Kératoconjonctivite de type Seul(e) en Scène, organisé ici : Studio-Théâtre d'Asnières -
Asnières sur Seine, n'est plus disponible à la vente.
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