
"Version nomade" pour le 100ème anniversaire du "soldat" de Stravinsky avec clarinette, violon, bandonéon et crécelle à percussion !
Pourquoi "nomade" ?
Concert lecture en préambule et "test" à une version nomade, dans les campagnes et hors les murs des théâtres, ce qui revient à respecter la volonté initiale de l'auteur et du compositeur de faire un spectacle ambulant (la grippe espagnole a dissuadé le compositeur de faire la tournée des villages Suisses prévue à en 1918).
Pourquoi jouer dans une église avec un bandonéon ?
Le Bandonéon fut créé en 1854 en Allemagne afin de jouer de la musique religieuse, de la musique d'église. N'ayant plus d'argent pour acheter un orgue ou un harmonium et les allemands inventèrent cet instrument. Il était alors appellé Bandonium.
Il s'agit donc non seulement de tester l'acoustique de cette version "nomade" au bandonéon, mais surtout de rendre hommage , dans cette première "version concert", au goût de Stravinsky pour le hiératisme, la solennité et une grandeur qui relèvent de la liturgie, et sa profonde attirance pour le sacré. Des pièces telles la Messe, la Symphonie des psaumes ou les Requiem canticles relèvent de cette fonction accordée à la musique de célébrer un culte. Mais la recherche de sacralité, le penchant pour la simplification de l'icône se manifestent également au plus haut point dans l'Histoire du soldat.
Ce concert sera accessoirement un "test" pour voir si la le parti pris artistique du "bandonéon" séduit ( ou pas) les mélomanes avertis tout autant que , d'emblée, les spectateurs qui ne connaîtraient pas encore la version originale .
Le lieu a nécessité l'intervention d'un créateur lumière : Sebastien Guiserix
Scénario
C'est l'histoire d'un pauvre soldat qui rentre au pays. Il marche. Il marche et s'accompagne au violon. Son chemin croise celui du Malin qui lui fait miroiter une fortune en échange de son instrument. Le soldat vend son âme au diable. Mais quand l'argent lui devient facile, il découvre qu'il lui manque l'essentiel, et réussit à reprendre le violon au diable, avec lequel il charme une languissante princesse. Devenu prince, mais toujours insatisfait, il veut revoir son village natal. Mais "un bonheur est tout le bonheur, deux, c'est comme s'ils n'existaient pas". Le pauvre soldat perd tout. Triomphe du diable.
Le programme de la soirée est volontairement éclectique : en première partie du chant choral, des chansons (rien que des "tubes" accompagnés à l'orgue ou à la guitare et au bandonéon), puis du théâtre musical, le fameux "paysan -soldat" de Stravinsky...
Il y a donc 5 artistes musiciens comédiens en deuxième partie (soldat) et avant cela les prestations de trois chorales : "9 y est ça commence", " A tout choeur", "Choeur à prendre"
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Pour tout public
Langue : Français
Concert lecture en préambule et "test" à une version nomade, dans les campagnes et hors les murs des théâtres, ce qui revient à respecter la volonté initiale de l'auteur et du compositeur de faire un spectacle ambulant (la grippe espagnole a dissuadé le compositeur de faire la tournée des villages Suisses prévue à en 1918).
Pourquoi jouer dans une église avec un bandonéon ?
Le Bandonéon fut créé en 1854 en Allemagne afin de jouer de la musique religieuse, de la musique d'église. N'ayant plus d'argent pour acheter un orgue ou un harmonium et les allemands inventèrent cet instrument. Il était alors appellé Bandonium.
Il s'agit donc non seulement de tester l'acoustique de cette version "nomade" au bandonéon, mais surtout de rendre hommage , dans cette première "version concert", au goût de Stravinsky pour le hiératisme, la solennité et une grandeur qui relèvent de la liturgie, et sa profonde attirance pour le sacré. Des pièces telles la Messe, la Symphonie des psaumes ou les Requiem canticles relèvent de cette fonction accordée à la musique de célébrer un culte. Mais la recherche de sacralité, le penchant pour la simplification de l'icône se manifestent également au plus haut point dans l'Histoire du soldat.
Ce concert sera accessoirement un "test" pour voir si la le parti pris artistique du "bandonéon" séduit ( ou pas) les mélomanes avertis tout autant que , d'emblée, les spectateurs qui ne connaîtraient pas encore la version originale .
Le lieu a nécessité l'intervention d'un créateur lumière : Sebastien Guiserix
Scénario
C'est l'histoire d'un pauvre soldat qui rentre au pays. Il marche. Il marche et s'accompagne au violon. Son chemin croise celui du Malin qui lui fait miroiter une fortune en échange de son instrument. Le soldat vend son âme au diable. Mais quand l'argent lui devient facile, il découvre qu'il lui manque l'essentiel, et réussit à reprendre le violon au diable, avec lequel il charme une languissante princesse. Devenu prince, mais toujours insatisfait, il veut revoir son village natal. Mais "un bonheur est tout le bonheur, deux, c'est comme s'ils n'existaient pas". Le pauvre soldat perd tout. Triomphe du diable.
Le programme de la soirée est volontairement éclectique : en première partie du chant choral, des chansons (rien que des "tubes" accompagnés à l'orgue ou à la guitare et au bandonéon), puis du théâtre musical, le fameux "paysan -soldat" de Stravinsky...
Il y a donc 5 artistes musiciens comédiens en deuxième partie (soldat) et avant cela les prestations de trois chorales : "9 y est ça commence", " A tout choeur", "Choeur à prendre"
La distribution du spectacle ✨
Artiste(s) :
Christophe Querry, Pablo Nemirowsky, Jean christophe papeghin, Vladimir Gugot , Xavier Touzé, Sebastien Guiserix
Mise en scène :
christophe Querry
Version nomade de L'histoire du soldat, les avis spectateurs
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Le lieu
Version nomade de L'histoire du soldat, toutes les séances
Aucune date prévue pour le moment
À propos de Version nomade de L'histoire du soldat
L’événement Version nomade de L'histoire du soldat de type Théâtre musical, organisé ici : Eglise Sainte Rosalie -
Paris, n'est plus disponible à la vente.
Toujours à la recherche de la sortie idéale ? Voici quelques pistes :
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