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Salle
où cet événement eut lieu :
Théâtre des Halles - Compagnie Alain Timar, 84000 Avignon


- Cet événement n'est plus disponible à la réservation dans cette salle -

Critiques de la presse



"On est ému et troublé (Le Vieux Juif), on rit franchement (Les Marchands ambulants), on est profondément bouleversé et l'on rit aussi avec 74 Georgia Avenue, pièce dans laquelle Schisgal a mis beaucoup de lui-même, de ses souvenirs... C'est très beau." Armelle Héliot - Le Figaro

"A partir de trois pièces courtes du dramaturge américain Murray Schisgal, le metteur en scène Stéphane Valensi s’interroge de façon à la fois ironique et profondément humaine sur l’identité, l’émigration et l’exil, l’oubli, l’abandon et la perte." Martine Silber - Le Monde Il faut saluer ce premier travail de mise en scène, mais aussi de traduction du comédien Stéphane Valensi. Les trois pièces courtes de Murray Schisgal forment un triptyque sur les migrations urbaines et les mystères de l’identité. Valensi fait entendre l’humour juif new-yorkais et la musicalité particulière de ce qui forme l’œuvre de Schisgal, pour qui la vie est un théâtre dans lequel les hommes jouent un rôle avec plus ou moins de bonheur. Ajoutons à cela une scénographie superbe de Jean Haas, la complicité d’un jeu parfait des comédiens, Stéphane Valensi, fragile et sensible, Marc Berman, inventif, Paulin F. Fodouop, étonnant, Guilaine Londez, épatante, pour donner un bel écho au petit monde de Schisgal." Marie-Céline Nivière - Pariscope

"Servi par des comédiens en tout point remarquables, qui délivrent avec subtilité les multiples facettes des personnages, ce spectacle où l’on rit souvent, où l’on sourit beaucoup, où l’émotion affleure en permanence, alterne le burlesque grinçant et la noblesse désespérée de ce qu’on appelle communément l’humour juif. Les décors ingénieux dont les changements sont poétiquement scénarisés, la superbe lumière et la mise en scène de Stéphane Valensi nous montrent l’envers de la médaille du rêve américain, le mirage de la fausse liberté, le temps qui passe, la nostalgie et sa jolie compagne la tendresse." Benoit Lagarrigue - Journal de Saint-Denis