
J'habitais une petite maison sans grâce, j'aimais le boudin
•
1 h 15 min
Espace Culturel André Malraux
J'habitais une petite maison sans grâce, j'aimais le boudin
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1 h 15 min
Espace Culturel André Malraux
Une enfance en Wallonie industrielle revisitée par la langue et le regard de Jean-Marie Piemme.
Années 50, Seraing.
Dans cette Wallonie profonde,les perspectives d'avenir sont, sommes toutes, assezréduites : il y a l'église, l'usine ou l'école. Pour Jean-Marie Piemme, ce sera l'école. Son père travaille à l'usine depuis ses quatorze ans et cette vie-là, ce pays-là, le "pays de l'usine", il n'en veut pas pour son fils.
Récit autobiographique, J'habitais une petite maison sans grâce, j'aimais le boudi revient sur les années d'enfance de l'auteur, l'univers ouvrier des usines de sidérurgie, le sentiment d'appartenance et l'émancipation parfois douloureuse.
Dans la cuisine où tout se passe, au milieu des odeurs de nourriture et des souvenirs familiaux, se joue le quotidien de ces familles modestes pour lesquelles le vendredi était un jour heureux, le jour de la paye.
En adaptant ce texte, Philippe Jeusette et Virginie Thirion construisent une fresque humaine tendre et drôle qui évoque sans nostalgie ni regrets la filiation mais aussi la fin de ce monde ouvrier, aussi rude que chaleureux.
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Pour tout public
Langue : Français
Dans cette Wallonie profonde,les perspectives d'avenir sont, sommes toutes, assezréduites : il y a l'église, l'usine ou l'école. Pour Jean-Marie Piemme, ce sera l'école. Son père travaille à l'usine depuis ses quatorze ans et cette vie-là, ce pays-là, le "pays de l'usine", il n'en veut pas pour son fils.
Récit autobiographique, J'habitais une petite maison sans grâce, j'aimais le boudi revient sur les années d'enfance de l'auteur, l'univers ouvrier des usines de sidérurgie, le sentiment d'appartenance et l'émancipation parfois douloureuse.
Dans la cuisine où tout se passe, au milieu des odeurs de nourriture et des souvenirs familiaux, se joue le quotidien de ces familles modestes pour lesquelles le vendredi était un jour heureux, le jour de la paye.
En adaptant ce texte, Philippe Jeusette et Virginie Thirion construisent une fresque humaine tendre et drôle qui évoque sans nostalgie ni regrets la filiation mais aussi la fin de ce monde ouvrier, aussi rude que chaleureux.
La distribution du spectacle ✨
Auteur(s) :
Jean-Marie Piemme
J'habitais une petite maison sans grâce, j'aimais le boudin, les avis spectateurs
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J'habitais une petite maison sans grâce, j'aimais le boudin, les avis presse
La Libre Belgique
C'est au coeur de l'humain qu'on est entraîné par un Philippe Jeusette juste et tendre, drôle et émouvant.
Le lieu
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J'habitais une petite maison sans grâce, j'aimais le boudin, toutes les séances
Aucune date prévue pour le moment
À propos de J'habitais une petite maison sans grâce, j'aimais le boudin
L’événement J'habitais une petite maison sans grâce, j'aimais le boudin de type Théâtre contemporain, organisé ici : Espace Culturel André Malraux -
Le Kremlin Bicêtre, n'est plus disponible à la vente.
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