
Deux personnages qui paraissent à l'opposé l'un de l'autre se rejoignent : un pauvre homme à la vie manquée et un grand bourgeois en pleine réussite.
Pièce en deux parties. Un personnage unique, différent dans chaque partie... un comédien pour deux rôles.
- 1ère partie : Dialogue avec l'image.
Augustin Morgan est un fonctionnaire solitaire, dominé par sa hiérarchie, agressé par le vide de son quotidien. Il a peur de tout – surtout de la solitude.
Chez lui, il tente de compenser sa détresse par un jeu qu'il s'est inventé : avec son téléphone, il plonge dans l'immense cascade des réseaux sociaux, et choisit au hasard quelques images pour en faire des souvenirs affectifs, et se construire ainsi un univers imaginaire.
Avec son jeu, il essaie de se convaincre de ce bonheur virtuel et fabriqué. Y croit-il réellement ? En réalité, d'image en image, il s'enfonce lentement dans son désespoir.
- 2ème partie : Isabelle est morte.
Avant un dîner en ville, Maître Bertrand Bachelier, avocat, relit sa prochaine plaidoirie à la veille d'un procès aux assises. Il défend... un certain Augustin Morgan accusé du meurtre de sa voisine. Au fur et à mesure de sa relecture, l'avocat doute de l'innocence de son client, et se trouve pris dans le fameux "paradoxe de l'avocat" : il est impossible d'abandonner une défense à quelques heures du procès.
Progressivement, il comprend ce qu'est la vie d'Augustin, sa solitude, l'existence du "jeu", peut-être partagé par lettres avec la voisine. La plaidoirie devient alors une mise en évidence du mal de notre époque : la vie d'aujourd'hui enferme les hommes dans cette solitude, celle-là même qu'ils croient vaincre à coups de réseaux sociaux, de fausses amitiés, d'échanges illusoires... Comme les jeux d'Augustin. L'avocat refait alors le chemin de son client à rebrousse-coeur.
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Pour tout public
Langue : français
- 1ère partie : Dialogue avec l'image.
Augustin Morgan est un fonctionnaire solitaire, dominé par sa hiérarchie, agressé par le vide de son quotidien. Il a peur de tout – surtout de la solitude.
Chez lui, il tente de compenser sa détresse par un jeu qu'il s'est inventé : avec son téléphone, il plonge dans l'immense cascade des réseaux sociaux, et choisit au hasard quelques images pour en faire des souvenirs affectifs, et se construire ainsi un univers imaginaire.
Avec son jeu, il essaie de se convaincre de ce bonheur virtuel et fabriqué. Y croit-il réellement ? En réalité, d'image en image, il s'enfonce lentement dans son désespoir.
- 2ème partie : Isabelle est morte.
Avant un dîner en ville, Maître Bertrand Bachelier, avocat, relit sa prochaine plaidoirie à la veille d'un procès aux assises. Il défend... un certain Augustin Morgan accusé du meurtre de sa voisine. Au fur et à mesure de sa relecture, l'avocat doute de l'innocence de son client, et se trouve pris dans le fameux "paradoxe de l'avocat" : il est impossible d'abandonner une défense à quelques heures du procès.
Progressivement, il comprend ce qu'est la vie d'Augustin, sa solitude, l'existence du "jeu", peut-être partagé par lettres avec la voisine. La plaidoirie devient alors une mise en évidence du mal de notre époque : la vie d'aujourd'hui enferme les hommes dans cette solitude, celle-là même qu'ils croient vaincre à coups de réseaux sociaux, de fausses amitiés, d'échanges illusoires... Comme les jeux d'Augustin. L'avocat refait alors le chemin de son client à rebrousse-coeur.
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À propos de J'ai mal au siècle
L’événement J'ai mal au siècle de type Théâtre contemporain, organisé ici : Théâtre de l'Epée de Bois - Cartoucherie -
Paris, n'est plus disponible à la vente.
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