Le Mariage de Figaro avec Philippe Torreton

Jamais vu un jeu d acteurs aussi excellent. Pièce géniale et intemporelle mise encore plus au goût du jour avec un humour raffiné et fabuleux !!! Je recommande totalement. Du pur bonheur !

Rythme, mise en scène acteurs tout était au top. Quelle maîtrise et qu'elle énergie. Et Bravo monsieur Beaumarchais de nous avoir offert ce bijou.

deux heures de bonheur , tout est parfait on ne s'ennuie pas une seconde . Bravo à tous et bravo à Philippe Torreton de donner vie à un si joyeux figaro

Quelle virtuosité de la part de ces comédiens ! Vous nous avez emportés avec vous tout au long de cette pièce. Merci !

Un beau texte et une distribution aux petits oignons!

Une oeuvre jouée à la perfection, une performance grandiose !

Ma 1ere pièce de ce festival, et un grand bonheur de voir Philippe Torreton sur scène, avec le talent qui le compose depuis longtemps. Un excellent moment de théâtre

Vu à Avignon. Je suis restée bouche bée face à la qualité de jeu des comédiens et comédiennes. Version moderne et dépoussiérée d'un classique du théâtre. La mise en scène est dynamique, les décors donnent vie à l'intrigue. Je recommande !

Vue et adorée aujourd'hui à Avignon cette pièce. Mise en scène enlevée, comédiennes et comédiens au top

Quelle déception d’être très peu rentré dans ce spectacle pour lequel j’avais une forte attente, attisée par les excellentes critiques que j’avais lues sur les représentations d’Avignon. Le texte est massacré par certains acteurs, quelques seconds rôles sont assez exécrables et paraissent en plus hors d’âge. Torreton, qui n’a certes plus l’âge du rôle, s’en sort bien et dit son texte parfaitement. Anne Mercier, avec sa voix de basse profonde, donne à la mère de Figaro une allure inhabituelle mais finalement touchante. Ça court, ça crie beaucoup (il faut dire que certaines voix sont mal projetées et ne s’entendent que criées). Il n’y a aucun raffinement dans cette mise en scène, rien qui puisse évoquer l’aristocratie ; la comtesse est très ordinaire, le comte sans intérêt ; ne parlons pas de la vulgarité de la fille du jardinier, qui en plus nous casse les oreilles en jouant du tambour qu’une sonorisation envahissante mal réglée envoie fortissimo vers la salle. Bon, on m’a clairement volé mon Beaumarchais, remplacé par du Léna Bréban. Mais soyons honnêtes, nous n’étions que quelques vieux dans la salle à regretter ce changement, et aux applaudissements, il semble bien qu’une bonne partie du public, peut-être nourrie aux gaudrioles télévisées plus qu’à la lecture des pièces du répertoire, ait passé un très bon moment. Tant mieux pour elle, tant pis pour nous.