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Critiques de la presse



Festival de la Roque d'Anthéron 2002 : « … on a gardé le meilleur pour la fin : l'intégrale des sonates de Schubert par Paul Lewis, jeune Britanniques que ses récents débuts discographiques consacraient déjà comme un éminent schubertien. Commencée avec une certaine prudence et un geste retenu, son odyssée se clôtura lors d'une longue et mémorable « Nuit du piano ». Articulées et construites à la perfection, rigoureuses mais moins cérébrales que celle du dernier Brendel, d'une intériorité digne de Richter, limpides et naturelles comme chez Kempff : rarement les dernières sonates du Viennois avaient sonné aussi juste . »
Jérôme Bastianelli / Diapason / Otc. 2002
“La prestation de Paul Lewis est plus que convaincante : elle éblouit”.
« Coup de coeur » Piano Magazine / Janvier 2002

« … Et puis l'on écoute et l'on rend les armes : dans le répertoire le plus exigeant qui soi, ou l'on ne peut s'en tirer par aucun effet de manche, on entend un vrai musicien, d'une profondeur et d'une maturité déjà dignes d'admiration. Longue Vie ! »
C. Merlin, B. Ducale / Le Figaro Jeudi 27 déc. 2001

« … Et puis l'on écoute et l'on rend les armes : dans le répertoire le plus exigeant qui soi, ou l'on ne peut s'en tirer par aucun effet de manche, on entend un vrai musicien, d'une profondeur et d'une maturité déjà dignes d'admiration. Longue Vie ! »
C. Merlin, B. Ducale / Le Figaro Jeudi 27 déc. 2001

“… Il atteint une sorte d'idéal de simplicité qui aura échappé à de nombreux pianistes dans la Sonate D.958, la plus « beethovénienne » des sonates de Schubert, une sonate conquérante et moins désenchantée que tant d'autres, à laquelle il apporte les qualités d'un jeu aussi intuitif que raisonné ».
Alain Lompech / Le Monde / 10 Nov. 2001

« Those who have followed the career of Paul Lewis will know that his playing has a remarkable capacity to probe beneath the surface of the notes and to substantiate with a compelling attitude to style and musical character. »
Geoffrey Norris/The Daily telegraph, 18 Ap. 2001