
Bach, Beethoven et Mendelssohn par le choeur et l'orchestre Oya Kephale Direction Pierre Boudeville
Pour les premiers concerts de la saison, Oya Kephale vous donne rendez-vous en compagnie de trois grands maîtres de la musique allemande : Bach, Beethoven et Mendelssohn.
Le programme s'ouvre avec Jesu, meine Freude (Jésus, ma joie), motet funèbre que Jean-Sébastien Bach a composé à l'âge de 38 ans. Dans une architecture rigoureusement charpentée, le cantor de Leipzig expose un choral luthérien et fait ensuite alterner des variations de ce choral avec des mouvements plus libres. La ligne du choral est ainsi harmonisée, variée et ornée avec l'élégance et la profondeur qui conviennent à ce style.
À ce sommet de la musique chorale succède un chef d'oeuvre instrumental : la première symphonie de Beethoven. Cette pièce, à la charnière entre le classicisme viennois et le romantisme allemand, permet au compositeur de jouer avec les codes d'un genre relativement récent. On peut y entendre son goût pour la surprise, hérité de Haydn et déjà , en toute fraîcheur, l'expression de la fougue comme celle de la plus vive allégresse.
Enfin, le choeur et l'orchestre se retrouvent autour du Psaume 42 de Mendelssohn, Wie der Hirsch schreit (Comme un cerf altéré), que Schumann tenait pour le summum de la musique religieuse du compositeur. Écrite en 1838 à l'occasion de son voyage de noce, l'oeuvre met en scène les peines et la consolation d'une âme qui cherche Dieu. Mendelssohn fait preuve d'un romantisme tendre et retenu, avec le soutien d'un orchestre symphonique complet pour l'époque. La pièce a été créée au Gewandhaus de Leipzig, dans la ville qui a connu le succès de J-S Bach.
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Pour tout public
Langue : Français
Le programme s'ouvre avec Jesu, meine Freude (Jésus, ma joie), motet funèbre que Jean-Sébastien Bach a composé à l'âge de 38 ans. Dans une architecture rigoureusement charpentée, le cantor de Leipzig expose un choral luthérien et fait ensuite alterner des variations de ce choral avec des mouvements plus libres. La ligne du choral est ainsi harmonisée, variée et ornée avec l'élégance et la profondeur qui conviennent à ce style.
À ce sommet de la musique chorale succède un chef d'oeuvre instrumental : la première symphonie de Beethoven. Cette pièce, à la charnière entre le classicisme viennois et le romantisme allemand, permet au compositeur de jouer avec les codes d'un genre relativement récent. On peut y entendre son goût pour la surprise, hérité de Haydn et déjà , en toute fraîcheur, l'expression de la fougue comme celle de la plus vive allégresse.
Enfin, le choeur et l'orchestre se retrouvent autour du Psaume 42 de Mendelssohn, Wie der Hirsch schreit (Comme un cerf altéré), que Schumann tenait pour le summum de la musique religieuse du compositeur. Écrite en 1838 à l'occasion de son voyage de noce, l'oeuvre met en scène les peines et la consolation d'une âme qui cherche Dieu. Mendelssohn fait preuve d'un romantisme tendre et retenu, avec le soutien d'un orchestre symphonique complet pour l'époque. La pièce a été créée au Gewandhaus de Leipzig, dans la ville qui a connu le succès de J-S Bach.
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Le lieu
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À propos de Bach, Beethoven, Mendelssohn
L’événement Bach, Beethoven, Mendelssohn de type Musique classique, organisé ici : Eglise Saint Marcel -
Paris, n'est plus disponible Ă la vente.
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