Avis et critiques : Gros-Câlin

Une interprétation vraiment prenante de cette oeuvre absurde que j'adore. Je n'ai pas été décue!

Une très belle performance du comédien. J'adore ce livre, j'ai beaucoup aimé l'adaptation qui en a été faite.

Hier soir nous avons vu gros câlin et ce fut fort sympathique. Le texte est drôle, bien tourné et le comédien sait le mettre en valeur avec un accent particulier qui fait un bon effet. Spectacle à recommander pour passer une bonne soirée. Chapeau au comédien seul sur scène

Bon , je suis un grand fan de Gary/Ajar. mais quelle belle rencontre que ce texte et cet acteur! Intelligent, incarné, tout est impeccable. On sort heureux et (comme quand a vu une Vraie pièce) rempli.

Bonjour, J'avais aimé le texte de Romain Gary; je l'ai retrouvé magnifié par la présence de Jean- Quentin Châtelain. Une diction bien à lui, une façon de nous transporter dans son monde où faiblesse rime avec tendresse et non l'inverse. J'étais très curieuse et un peu sceptique quand à l'adaptation mais j'ai été conquise. Un bravo pour la performance de cet acteur en monologue qui relève avec brio une mise en scène si volontairement figée.

Je me demandais comment il serait possible de retranscrire sur scène cette oeuvre de Gary que j'adore ! C'est réussi à la perfection. Le comédien est absolument incroyable ! On sort de la salle avec un sourire digne du gros câlin qu'on nous a fait !

Très beau texte langoureusement joué. Un régal!

et surprenant

C'est tout en sous-entendu sur le python, la sexualité, la solitude... L'acteur joue très bien. Attention le rythme volontairement lent et un peu monocorde, reprenant par la diction les circonvolutions du reptile, peut décourager quelques-uns. Nous étions 5 amis. 2 n'ont pas aimé, un est sorti sans avis. Nous étions donc 2 , un ami et moi, à avoir vraiment apprécié.

Une scénographie et une mise en scène simple et efficace qui permet au comédien de sublimer le texte de Romain Gary avec une justesse à vous couper le souffle. J'étais plongée dans l'histoire, et il n'y avait plus que ça qui importait. Bravo.