Avis et critiques : Jeunesse sans dieu

Le sujet est bien traité et la mise en scène de qualité. Ce n'est pas un théâtre facile mais intéressant. J'ai été gêné par l'accent de l'acteur principal qui pour moi parasitait son interprétation. C'est une bonne sortie de théâtre.

Une belle mise en scène qui laisse un peu de place à l'humour; ce qui n'enlève rien à la profondeur du texte.

On a dû mal à suivre le fil directeur mais passages excellents. Mise en scène singulière. Faut y aller :-)

Une mise en scène audacieuse, pour un texte fort mais déjà pas très facile...Mieux vaut donc être particulièrement "en forme" pour voir cette pièce et apprécier à sa juste valeur la performance des acteurs..j'ai parfois "décroché" sur le texte à cause de l'accent assez prononcé du professeur et aussi sur la mise en scène qui partait parfois un peu dans tous les sens malgré de très bonnes idées...A conseiller pour des spectateurs exigeants et amateurs de théâtre contemporain et engagé

La présence, la parole d'Ödön von Horvàth sont toujours d'actualité, indispensables. L'adaptation de ce roman nous permet de réfléchir, de s'interroger sur l'état de notre société. Quelle sécurité, quelles garanties avons-nous concernant la tolérance ? Y a t'il rien d'acquis ? Sommes-nous en danger permanent ? Sommes-nous capable d'affirmer nos convictions quand elles ne sont pas dans l'air du temps ? Certains des acteurs ont un accent, notamment le professeur, mais cela ne m'a pas dérangé, cela ne gêne en rien la fluidité du spectacle.

On passe un bon moment dans l'ensemble mais la mise en scène des pensées du professeur est un peu trop lourde.

La mise en scène surprend et le jeu des acteurs est parfois retenu. Dommage.

Je n'ai pas compris la pièce. Je n'avais pas le plaisir de connaître le livre mais cela me donne l'occasion de le faire. Le jeu des acteurs semblait cohérent....

Je ne peux voir ce genre de pièce sans être très mal à l'aise. On y voit la représentation de la marche d'une histoire dont nous connaissons la progression. Ce récit possède un potentiel d'intemporalité qui rend le propos encore plus dérangeant et on se prend à redouter : et si c'était demain ?

adaptation parcellaire pour le théâtre d'un roman puissant qui mériterait mieux