Avis et critiques : l'Ours Normand, Fernand Léger

c'est avec passion qu'Arnaud Churin nous relate les convictions et sentiments artistique de Ferdinand Léger. Magnifique représentation. A conseiller aux profs d'art et a leurs élèves. Passion des courbes et de la couleur. Merci pour cette très bonne performance, et cette qualité oratoire. Bravo

Le spectacle est riche en son texte son interprétation.Il reflète l'age d'or de la vie artistique parisienne début du 20 éme siècle.

très bonne interprétation pour nous faire revivre l'histoire de ce peintre. J'ai moins aimé la mise en scène restée un mystère. Malgré cela, le comédien est excellent.

Ce soir, j'ai eu l'impression qu'un Pygmalion prenait plaisir à m'expliquer la démarche d'un artiste, que je n'avais pas réussi à comprendre. Avec une voix bien timbrée, l'acteur présentateur nous dit le texte de Fernand Léger - et c'est une belle performance - car il est difficile ce texte. Et, surtout, en ce qui me concerne, la présentation de ce peintre à la personnalité si atypique, nous apporte les explications pour suivre son cheminement et son évolution. Les toiles étaient si bien évoquées que j'ai eu l'impression de les voir directement. Quelle belle visite d'exposition !

Il s'agit d'une pièce sur un artiste que je ne connaissais pas... et que je ne connais toujours pas. Un seul artiste est en scène, avec des jeux de lumière il nous récite des morceaux d'un livre. Je n'ai pas compris. Je suis sortie de là en étant contente que cela soit terminé. Mais je ne jette pas à la pierre à cet artiste, je pense juste que c'était trop contemporain pour moi...

J'ai bien cru au début être tombé dans un piège ou la description ne correspondait pas au spectacle; la première partie sous forme de rap nous décrit une partie de la vie de Monsieur Léger. Cette partie ne m'a pas vraiment accroché. Puis l'acteur pose le micro et tout s'éclaircit, les méandres de la création artistique, le pourquoi des recherches picturales, enfin l'art dans toute sa complexité. J'ai bien aimé l'interprétation de cette partie et les propos bien mis en valeur. Pourquoi ce début (la complexité de l'art !) ?