Avis et critiques : Le gout de l'orange

Un vrai moment de bonheur pour ce spectacle tout en rire, action sans oublier les moments tendresse. Bravo quel magnifique spectacle à voir et revoir les yeux grands ouverts. Merci au boeuf théâtre d'avoir programmé ce spectacle.

Le spectacle vivant LE PLUS DROLE et le plus émouvant depuis longtemps. Fuck the tv,VIVE LA VIE! Merci pour ça. Allez-y, courrez-y toute affaire cessante,talent à l'état pur.

Ivan Challey nous a entrainnés dans une histoire émouvante qui n'est pas sans rappeler l'atmosphère des films de Pedro Almodovar.

Mon amie et moi avons assisté au spectacle d'un artiste complet, plein d'humour, interprétant plusieurs rôles avec brio. Nous avons aimé les excellentes parodiess ainsi que la gestuelle élégante et bien menée.

Le spectacle est extraordinaire je ne peux que le conseiller aux avignonais. Cet antibois nous fais découvrir son univers si poétique,drôle et touchant.L'histoire est pleine de tendresse.Cyrano m'a fait pleurer lorsqu'il annonce la flamme qui brule dans son coeur pour sa "Maria" et la dans qu'il y fait est magnifique.

Ce spectacle m'a beaucoup touchée le jeu du comédien est excellent, l'histoire est émouvante et drôle à la fois. On ne peut en sortir indifférent, c'est un spectacle qui vaut vraiment le déplacement!

Spectacle un peu long dans la 1ère 1/2 heure. Après tout va, beaucoup de rire. Humour super

Un de nos meilleurs spectacles de cette année. Excellent comédien, un one man show aux multiples personnages,9 personnes unanimes

j'ai été décu par ce spectacle même si le comédien s'est donné beaucoup de mal je n'ai pas du tout accroché. Il ne m'a pas fait rire ou si peu alors que je suis très bon public.

Goût de l’orange On a vu Le Goût de l’orange, De et avec IVAN CHALLEY. Supérieur à tout ce qui passe à la télé Ou se loue en CD ; on a gagné au change. À la fois one-man-show, théâtre et poésie : Ivan joue, mime et danse ; il chante et nous promène ; Il occupe à lui seul la scène … C’est beau. Un conseil : allez-y ! Vu à l’Acropolis dimanche 8 avril 2007 au soir ; écrit le 9 à Antibes.