Mélinda et Mélinda

j'aime beaucoup Woody Allen, alors pas facile de me convaincre quand à une adaptation..... Mais le pari est très réussi, j'ai totalement retrouvé l'ambiance de ses films. Les acteurs sont excellents et la mise en scène est très réussie. On se laisse prendre par ces deux histoires, la comédie est fort réjouissante, et la tragédie très émouvante. On rit, on compatit, on passe un excellent moment!!! A recommander très vivement!!

J'avais beaucoup aimé le film, j'étais sur mes gardes mais c'est une super adaptation et du très bon théâtre. Les comediens nous font oublier la distri originale. Une réussite.

C'est du pur Woody Allen, avec ces ingrédients habituels (intellectuels, sexe, dépression, etc.). La mise en scène est original est donne une belle dynamique au spectacle. Les acteurs sont performants. Les décors et les lumières sont toujours de bonne facture dans le théâtre du vingtième. L'ensemble nous fait passer un bon moment en compagnie de ces personnages qui sur un même sujet jouent soit un drame soit une comédie. Le déplacement au vingtième est encore pleinement justifié.

l'idée est bonne, les dialogues intéressants, mais on ne retrouve pas l'ambiance Woody, la partie tragédie est mieux rendue que la partie comédie qui ne fait pas rire (pas que moi ) trop lourde dans l'interpétation qui tourne au théatre de boulevard. Dommage, j'adore Woody

Pièce très bien jouée avec un décor très bien étudié. Quant à la pièce, c'est du woody ce qui veut dire que tout n'est pas toujours compréhensible.... si vous voulez passer un moment à rigoler, à éviter....

Si les acteurs ont du talents, l'ensemble peine un peu à nous convaincre... Le passage de la comédie à la tragédie, argument de base de la pièce, n'est pas très clair et aurait pu ressortir plus nettement dans la mise en scène (les décors sont beaux, à ce compte là pourquoi ne pas avoir figurer deux appartements différents afin de clarifier le basculement tragédie/comédie?). Le rythme est là, mais l'esprit (et notamment l'humour) des films de Woody, nous manque...