Modi avec Stéphane Guillon et Sarah Biasini

Aucun doute la comédie c'est son truc et il est moins cynique qu en comique . Quoique le texte le rende cynique . Les autres comédiens sont bons aussi . Mais lui , il explose !

Nous avons passé un excellent moment avec des acteurs de talent dans un texte de grande qualité, plein d'esprit. Les décors et l'éclairage soulignant au plus juste les différentes scènes de la pièce. Un très bon spectacle à conseiller.

Bonne interprétation des 4 acteurs et plein d information sur la vie de modigliani bon moment de théâtre

J'ai apprécié cette piéce qui sort un peu de l'ordinaire .Le texte n'est pas mal , j'étais parti avec un à priori défavorable concernant stéphane Guillon , il est excellent , le rôle n'est pas facile, Geneviéve Casile excellente aussi , une petite réserve pour Sarah Biasani qui est un peu en retrait.La dramartugie est respectée.En conclusion , j'ai aimé.

La mise en scène est nette et ingénieuse. Les acteurs sont justes et nous mettent tout de suite dans l'ambiance de l'atelier de Modigliani. Stéphane Guillon est un acteur formidable et ses partenaires très bons aussi. 1h40 que je n'ai pas vu passer ! Merci.

J ai adoré cette pièce!!! Allez y sans aucune hésitation: magnifique interprétation de Stéphane Guillon.

Sur un ton assez dramatique, beau huit clos sur la vie de Modigliani, l'artiste torturé.. et toujours agréable le joli théâtre de l'Atelier sur une charmante place ! Bravo aux 4 acteurs.

Comme d'habitude à l'atelier à spectacle intelligent, bien joué. bravo

Étonnant Stéphane Guillon qui est entré dans le rôle de façon précise pour nous captiver dans ce passage de vie de Modigliani Les autres comédiens sont très bons avec une mention particulière pour Didier Brice dans le rôle de Sborowski

j'ai découvert cette pièce dans laquelle je me suis volontiers laissé emporter par une tranche de vie de cet artiste au comportement tourmenté, quoiqu'il en soit il semble que sa femme aimante ait considérablement ralenti sa chute par son adhésion inconditionnelle à son compagnon malgré ses écarts de routes (...) le rôle de la mère avec qui ils se haïssent réciproquement est très bien interprété ainsi que le très lent rapprochement qui s'opèrent en eux pour finir par s'apprécier.....à noter que cette empathie vécu par l'artiste, au lieu de le réconcilier semble au contraire le tuer un peu plus, comme il le dit lui mm qd il se met à peindre des paysages ou des maisons au lieu de portraits de femmes....qlqes choses en lui le conduit dans cette attitude compulsionnelle, et qd on l'écoute parler de sa famille atteinte de folies diverses, on peut se poser la question sur l'héritage génétique....bref, un bon jeu d'acteur impliqué et convaincant, idem pour la mise en scène, dans lesquelles je n'ai rien à redire