L'ONDIF sur un air de printemps...
Programme :
Serge Prokofiev
L'Amour des trois oranges, suite (20')
Edward Elgar
Concerto pour violoncelle en mi mineur op.85 (30')
Anton Dvorak
Symphonie n°8 en sol majeur op.88 (37')
Distribution :
Direction James Feddeck
Violoncelle Victor Julien-Laferrière
Symphonie n°8 en sol majeur op.88 (37')Au 19ème siècle une poussée des écoles nationales en Europe ouvre des perspectives nouvelles, puisant dans les racines de chaque culture une matière à renouveler le langage musical. Chez les Britanniques, Edward Elgar incarne la prolongation de la grande tradition allemande. Son Concerto pour violoncelle (1919) cultive un lyrisme grandiose : ses mélodies semblent ne jamais s'arrêter. Anton Dvorak a cherché dans le folklore tchèque une caractérisation de sa musique : sa Symphonie n° 8 (1889) a été écrite dans le petit village de Vysoka, où le compositeur a puisé dans les thèmes populaires dansants de cette contrée, parfois inspirés des chants d'oiseaux. Prokofiev se nourrit quant à lui de l'ancienne tradition italienne de la commedia dell'arte dans L'Amour des trois oranges (1919) : mais c'est pour mieux lui donner les couleurs de la modernité russe qui fait alors fureur depuis la Révolution d'Octobre. Ici, tout n'est que rythmes et ruptures géométriques dans l'esprit de l'avant-garde constructiviste.
Lire la suite
Pour tout public
Langue : français
Serge Prokofiev
L'Amour des trois oranges, suite (20')
Edward Elgar
Concerto pour violoncelle en mi mineur op.85 (30')
Anton Dvorak
Symphonie n°8 en sol majeur op.88 (37')
Distribution :
Direction James Feddeck
Violoncelle Victor Julien-Laferrière
Symphonie n°8 en sol majeur op.88 (37')Au 19ème siècle une poussée des écoles nationales en Europe ouvre des perspectives nouvelles, puisant dans les racines de chaque culture une matière à renouveler le langage musical. Chez les Britanniques, Edward Elgar incarne la prolongation de la grande tradition allemande. Son Concerto pour violoncelle (1919) cultive un lyrisme grandiose : ses mélodies semblent ne jamais s'arrêter. Anton Dvorak a cherché dans le folklore tchèque une caractérisation de sa musique : sa Symphonie n° 8 (1889) a été écrite dans le petit village de Vysoka, où le compositeur a puisé dans les thèmes populaires dansants de cette contrée, parfois inspirés des chants d'oiseaux. Prokofiev se nourrit quant à lui de l'ancienne tradition italienne de la commedia dell'arte dans L'Amour des trois oranges (1919) : mais c'est pour mieux lui donner les couleurs de la modernité russe qui fait alors fureur depuis la Révolution d'Octobre. Ici, tout n'est que rythmes et ruptures géométriques dans l'esprit de l'avant-garde constructiviste.
La distribution du spectacle ✨
Artiste(s) :
Orchestre National d'Ile de France
Orchestre National d'Ile de France, les avis spectateurs
Connecte-toi pour donner ton avis !
Il n'y a pas encore d’avis 😭
Le lieu
Les spectacles dans la même salle
Orchestre National d'Ile de France, toutes les séances
Aucune date prévue pour le moment
Billets disponibles également dans une autre salle :
À propos de Orchestre National d'Ile de France
L’événement Orchestre National d'Ile de France de type Musique classique, organisé ici : Théâtre Victor Hugo -
Bagneux, n'est plus disponible à la vente.
Toujours à la recherche de la sortie idéale ? Voici quelques pistes :
Voir plus
Toujours à la recherche de la sortie idéale ? Voici quelques pistes :