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the exchange

1 h 15 min
Le Funambule Montmartre
Théâtre
the exchange
1 h 15 min
Le Funambule Montmartre
Théâtre

comment survivre après le mensonge, l'abandon et la manipulation ?

Comment survivre après le mensonge, l'abandon et la manipulation ? Dans l'affrontement et le duel, Lydia s'impose des épreuves pour se rappeler qu'elle est vivante.
Lire la suite Pour tout public Langue : français

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the exchange, les avis spectateurs

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  • @785366 Vu avec Billet Réduc'
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    9/10

    A voir absoluement

    J'ai adoré cette pièce! Les comédiens sont super, les dialogues sont très bien écrits. L'ensemble est chargé d'émotions. Je retourne la voir dès que possible!

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    Publié le 12 mai 2009
  • @992202 Vu avec Billet Réduc'
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    10/10

    The Exchange

    Deux femmes, dans une librairie, Claire et Lydia. Elles ne se connaissent pas mais aiment le même homme, un écrivain français qui a choisi Claire sans pouvoir véritablement renoncer à son amour pour Lydia. La première scène de "The Exchange", création de la pièce écrite par l'auteur américain Cynthia Mitchell, pourrait laisser croire que nous allons assister à l'explosion du triangle amoureux classique : un homme ne peut choisir entre deux femmes. Mais plutôt que de dérouler le fil de la rupture, la pièce construit sur les vestiges de cette relation fantôme une histoire d'amour mouvementée entre Lydia et Max Held, un acteur qui se prend un peu trop au jeu de la séduction. On ne dira jamais assez que complexité et amour heureux font rarement bon ménage et que s'il y a une infinité de nuance dans un amour déçu, tous les amours heureux le sont de la même manière (relisez Tolstoï). La bonne idée de la pièce est d'opposer à ce cliché un peu énervant de l'amour éruptif un amour qui se construit avec une obstination créatrice (celle de Max). Jouons l'amour pour le ressentir enfin ou comment l'on s'aime chez les intellectuels. Il y a un peu de Salinger dans la pièce : un spectre de Zooey sur l'épaule de l'acteur interprété par Alexandre Guégan, le souvenir de la nouvelle "Un jour rêvé pour le poisson banane" dans l'émouvante et absurde conversation téléphonique de Lydia avec sa mère, et le ton de la pièce, évidemment, brillant, souvent drôle parce que nonchalamment désespéré. Difficile de ne pas mentionner la belle performance de l'actrice principale, Françoise Guiol, insupportable, adorable Lydia et la musique choisie avec soin avec Liars, Skeeter Davis, Lavender Diamond et Count Five.

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    Publié le 05 mai 2009
  • Un Echange Sans Procédés

    Il est toujours très difficile de ne pas systématiquement convoquer les noms de Cassavetes ou de Tennessee Williams dès lors que l'on assiste à une joute sentimentale agencée en un genre de huis clos aux résonances pourtant très urbaines et dont les excès accusent inévitablement des échos para-psychanalytiques . Et même si certes on y pense, l'une des nombreuses qualités de la pièce " The Exchange " de Cynthia Mitchell est qu'elle s'affranchit de ces écrasantes tutelles en trouvant sa propre singularité grâce essentiellement à un remarquable travail de mise en scène – due à Audrey Krief- Dunelle - et d'interprétation - Françoise Guiol, Alexandre Guégan, Ombeline De La Teysonnière : tous trois formidables - basé sur la suggestion, le pointillé, le non-dit. En bref : une forme d'épure, de minimalisme qui sont très souvent le fondement même du jeune théâtre d'auteur comme d'ailleurs du cinéma et d'un certain rock indépendants, ces deux derniers auréolant, et là aussi implicitement mais incontestablement cette pièce . Mais si on ne saurait qualifier péjorativement cet " Exchange " " d'auteuriste ", c'est parce qu'il n'y a jamais trace ici de la moindre prétention ou de la référence, du modèle trop lourdement visibles, visés comme c'est hélas très/trop souvent le cas . Françoise Guiol sait qu'elle n'a ni l'âge ni - sans jeu de mots - la " bouteille " donc les fêlures, saillantes, d'une Gena Rowlands d'où le fait que quand elle " bascule " c'est toujours juste au bord du... stade borderline, ce qui évite, écarte tout pathos ! Et si face à elle Alexandre Guégan arbore une chemise blanche parfois froissée, on ne la confond jamais avec le maillot troué que Stanley Kowalski " mouillait " face à Blanche Du Bois ! Le clonage " fan de " et les ravages - au premier rang desquels trône cette fameuse " intériorisation " criarde de soi disant expressivité !! - que " l'Actor's Studio " ont très souvent fait dans le monde de la dramaturgie que ce soit au cinéma comme au théâtre ne sont ici bien heureusement pas de mise ! Un tel bouquet d'effusions parfois forcément douloureuses, dramatiques mais auquel la musicalité du texte et la vivacité de la mise en scène insufflent de l'air en lieu et place de l'étouffement attendu, dont sont absents toute espèce d'hystérie, tout psychologisme surligné et où plane même de l'humour : denrée inconnue des purs et durs de l'art pour l'art qui aiment à le bannir ou l'ignorer... est un cadeau pour l'oeil et l'esprit trop rare pour que l'on ne mette pas " nous " l'accent dessus en soulignant son existence à défaut de laisser cette troupe en faire de même dans son travail, troupe qui ne s'est sans nul doute pas auto-baptisée sans raison... " Trompe le Monde " ! SR

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    Publié le 09 mai 2009
  • bartleby Vu avec Billet Réduc'
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    4/10

    Uneven play, good actress

    The Exchange: pièce construite en trois mouvements, dont les deux premiers exposent les affres d'un amour asymétrique. Elle l'aime, il s'aime aussi, ne voit pas pourquoi il faudrait choisir entre elles. Classique, mais capté avec justesse et campé avec conviction par une Françoise Guiol rayonnante de cette douleur qui donne envie de l'éviter à tout prix. Le troisième mouvement, plus original, tente d'imaginer le remède à cet amour autodestructeur, et là, on se dit peut-être que Cynthia Mitchell connaît mieux le cerveau féminin que son homologue masculin. Dans quel galère son partenaire s'est-il embarqué, et qu'est-ce qu'il en retire ? Le coup de théâtre de la fin semble tellement schématique qu'on ne sait s'il faut le prendre au pied de la lettre. Est-ce vraiment le grand déballage sentimental qui règle tout ? Ça marche peut-être sur le papier ... A voir pour les actrices.

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    Publié le 23 mai 2009

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