Toboggan

Les thèmes abordés ont touchés chacun d'entre nous et nous sommes restés admiratif du travail corporel. Un très bon spectacle.

Le thème de la pièce est intéressant et traité avec originalité.Très bonne prestation de Anna Lien.

Pièce jouée à Saint Denis et maintenant à Bagnolet. Pour décor , un piano sur scène et du sable au sol. Et des lames de rideaux qui bougent.Le sujet est simplet mais le meteur en scène en a fait plus de 2 heures! Pour continuer à survivre,à manger, 5 vieux à la dérive décident de frapper un jeune homme, dans le seul but d'aller en prison pour avoir la sécurité, le gite et le couvert. Présence d'une jeune chinoise qui crie de façon aléatoire en chinois ou en français, dont je n'ai pas compris la présence. Des cris, des rales et grognements , slash , slash ??, un discours incohérent et fatigant. Une poussière suffocante à cause du sable soulevé et finalement la soirée s'est passée à résister. A ne pas se lever et partir, à ne pas dormir, à essayer de respirer et comprendre. Et dire que tout cela est fait avec le concours des ministeres, Mairie de Strasbourg, Fonds SCAD théatre, Arcadi, etc... Toboggan , glisser et partir !

En dépit d'un pitch plutôt intéressant, je n'ai jamais réussi à rentrer dans cette pièce. Je n'ai pas du tout adhéré à la mise en scène et je dois avouer que l'ennui m'a souvent gagné.

Sur une possible tendance sociétale, l'auteur construit ce spectacle. Pour moi le sujet manque véritablement de matière et de recule. Dans ce contexte les acteurs sont biens dans leur rôle mais la mise en scène est déstabilisante. Je suis passé à coté de ce spectacle, malgré une recherche d'ambiance intéressante.

Le thème était prometteur mais au final quel ennui. Des répétitions encore et encore, des hurlements, des gesticulations, des rôles incompréhensibles, une mise en scène inutilement violente. Le sujet erre tellement dans un vide abyssal de sens qu'après 1:30 de spectacle, l'histoire n'avait pas avancé d'un iota et que pour la première fois de ma vie de spectatrice, je suis sortie avant la fin, fatiguée.

L' idée est intéressante mais ça s 'arrête là .Fortement incommodées par la fausse fumée qui accueille les spectateurs nous espérions assister à une pièce sensée mais bien qu' un des acteurs promettait de temps en temps que nous allions "entrer "dans la pièce ,nous n' avons fait que d 'assister à une débauche de violence physique et verbale. Nous serions sorties s 'il y avait eu un entracte ,par respect pour les acteurs nous sommes restées mais cette pièce pseudo- intello est affligeante ,n' est pas Beckett qui veut.

Le sujet de cette pièce est très original, et passionnant. Il donne à réfléchir, sur les choix qui peuvent être faits par une société, si tant est qu'il s'agisse de choix, bien sûr. Par exemple : cela coûte t'il moins cher de laisser faire, plutôt que de maintenir ou de ré activer des programmes sociaux ? Le désespoir évident est traité avec beaucoup d'humour, de distance, trop à mon goût. Car ainsi il n'y a guère d'émotions. Le spectacle m'a paru trop souvent brouillon, et les commentaires de l'enquêteur peuvent alors être perçu comme des prétextes. Le jeu ne m'a pas paru exceptionnel, même si par moments Butor étoilé (Gaël Baron) m'a paru sortir du lot par un jeu parfois poétique.

Pour décor , un piano sur scène et du sable au sol. Et des lames de rideaux qui bougent.Le sujet est simplet mais le meteur en scène en a fait plus de 2 heures! Pour continuer à survivre,à manger, 5 vieux à la dérive décident de frapper un jeune homme, dans le seul but d'aller en prison pour avoir la sécurité, le gite et le couvert. Présence d'une jeune chinoise qui crie de façon aléatoire en chinois ou en français, dont je n'ai pas compris la présence. Des cris, des rales et grognements , slash , slash ??, un discours incohérent et fatigant.