
Résonances : Franceschini répond à Beethoven
Au programme :
Felix Mendelssohn
. La Belle Mélusine
Ouverture en fa majeur op. 32
Ludwig van Beethoven
. Triple Concerto pour violon, violoncelle, piano et orchestre en ut majeur op. 56
Matteo Franceschini
. Triple Concerto
Ego, triple concerto pour violon, violoncelle, piano et orchestre
Franz Schubert
. Symphonie n° 8 en si mineur " Inachevée "
Il fallait s'appeler Beethoven – et se considérer comme un génie hors norme – pour imaginer ce Triple Concerto qui met en avant non pas un mais trois solistes face à un grand orchestre. Le style est martial, grandiose, typique de la période que l'on a appelée par la suite " héroïque ".
La véhémence et l'ampleur des mélodies se doublent d'un jeu sur les masses orchestrales : on est loin des genres anciens du concerto grosso ou de la symphonie concertante pour aller vers une forme d'hyper-concerto, qui ouvre des perspectives radicalement modernes. Pour autant, la cohésion entre les trois solistes doit être parfaite ; ce qui rend parfaitement logique de faire appel à une formation de musique de chambre déjà constituée (comme ici le magnifique Trio Wanderer).
Dans son oeuvre nouvelle, Matteo Francheschini, compositeur en résidence à l'Orchestre, rendra se saisit du même effectif que Beethoven pour lui faire dire des choses neuves.
Le programme se termine aux antipodes de l'ambition beethovénienne : Schubert est le musicien de la poésie intérieure, fragile et chaleureuse, même lorsqu'il écrit pour l'orchestre symphonique.
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Pour tout public
Langue : Français
Felix Mendelssohn
. La Belle Mélusine
Ouverture en fa majeur op. 32
Ludwig van Beethoven
. Triple Concerto pour violon, violoncelle, piano et orchestre en ut majeur op. 56
Matteo Franceschini
. Triple Concerto
Ego, triple concerto pour violon, violoncelle, piano et orchestre
Franz Schubert
. Symphonie n° 8 en si mineur " Inachevée "
Il fallait s'appeler Beethoven – et se considérer comme un génie hors norme – pour imaginer ce Triple Concerto qui met en avant non pas un mais trois solistes face à un grand orchestre. Le style est martial, grandiose, typique de la période que l'on a appelée par la suite " héroïque ".
La véhémence et l'ampleur des mélodies se doublent d'un jeu sur les masses orchestrales : on est loin des genres anciens du concerto grosso ou de la symphonie concertante pour aller vers une forme d'hyper-concerto, qui ouvre des perspectives radicalement modernes. Pour autant, la cohésion entre les trois solistes doit être parfaite ; ce qui rend parfaitement logique de faire appel à une formation de musique de chambre déjà constituée (comme ici le magnifique Trio Wanderer).
Dans son oeuvre nouvelle, Matteo Francheschini, compositeur en résidence à l'Orchestre, rendra se saisit du même effectif que Beethoven pour lui faire dire des choses neuves.
Le programme se termine aux antipodes de l'ambition beethovénienne : Schubert est le musicien de la poésie intérieure, fragile et chaleureuse, même lorsqu'il écrit pour l'orchestre symphonique.
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